(Oups! Désolée...je viens de remarquer que mon rp est un peu long...mais bon si vous êtes trop découragé pour le lire, ce n'est pas grave^^)

Keito marcha sur la place du marché de la tribu de l’eau cherchant le stand à cartes. Elle regardait autour d’elle et mémorisait chaque détail dans sa tête. Ici et là, la vie grouillait partout. Des bambins couraient à travers la rue bousculant les passants. Les femmes marchaient bavardaient et riaient tandis que les hommes eux, montraient avec fierté le fruit de leur pêche ou racontaient leur aventure. Les marchands, tous souriants, invitaient les passants à observer leur produit mis en vente avec idée derrière la tête de se faire un peu de profit. La jeune fille sourit devant ce tableau. Elle était venue avec l’objectif d’en apprendre un peu plus sur la tribu de l’eau pour mieux la connaître. Qui pourrait lui en vouloir d’intensifier sa culture? Cependant elle ne s’était pas vraiment préparée à affronter le froid et les étendues de glaces, de neiges partout. Elle qui venait du Royaume de la terre dont le climat était chaud, elle n’était pas habituée à se promener dans un décor glacial incluant la température très basse. Apercevant enfin la boutique de cartes, elle entra dans celle-ci. La petite boutique était faite de blocs de glaces et une peau en fourrure servait de porte. L’intérieur était joliment décoré de tableaux et exposait de grandes anciennes cartes du monde.

Intéressant comme architecture

La fille de la terre repéra vite le marchand de la boutique. Il portait de petites lunettes qui lui retombaient sur le bout du nez ce qui lui donnait un air un peu farfelue. Son crâne chauve luisait sous la lumière des faibles bougies dispersées dans la pièce. Le vieil homme s’affairait sur une pile de cartes analysant celles-ci. L’homme âgé n’ayant pas senti sa présence restait à sa table de glace le nez plongé dans ses cartes.

-Hum…

Est-ce moi où il est sourd???

-Hum…hum

Soit qu’il est sourd ou soit qu’il a un sérieux problème d’ouïe!...ce qui revient à la même conclusion, il est sourd!

-Monsieur???

Le marchand leva sa tête pour voir qui avait osé le déranger durant sa lecture. Voyant une nouvelle cliente, il s’approcha de celle-ci avec le plus grand respect qui soit. Il ne l’avait jamais vu au village, sûrement une étrangère.

-Oui, que puis-je faire pour vous?

Le vieil homme fit un large sourire qui dévoila ses dents blanches.

-Je cherche une carte de la tribu de l’eau, si c’est possible, svp.

-Mmmmm…une carte de la tribu de l’eau?

-Oui une carte de la tribu de l’eau.

La jeune fille commençait à s’impatienter à force de toujours répéter ce qu’elle disait. Sa patience avait des limites en plus de n'être pas la personne la plus patiente qui existe.

-...laissez-moi penser. Ah! Je crois que nous en avons une! Veuillez me suivre, mademoiselle.

Cela prit au moins 2 bonnes heures d’obstinations, de répétassions au marchand avant d’enfin trouver les cartes de la tribu de l’eau. Bien qu’elles soient toutes très belles, détaillées et surtout dispendieuse, Les choix de la jeune fille étaient limités. Keito avait dû acheter la moins chère de toute à cause de ses humbles moyens.

-Au plaisir de vous revoir très chère.

-heu…oui, merci..

Keito avait sourit poliment et avait détalé sans laisser de traces. Elle sortit la carte de son sac pour l’observer. Elle l’avait acheté car un ami lui avait prêté sa hutte un peu à l’écart du village pour qu’elle puisse y vivre jusqu’à temps d’en avoir appris plus sur la tribu de l’eau.


Bon, tourner à droite puis continuer tout droit. Tourner vers la gauche, faire 45 pas en direction du soleil couchant. Après allez vers le Sud jusqu’à atteindre le pic rocheux…Continuer vers l’est.

Au fur et à mesure qu’elle lisait la carte, elle avançait sans trop se rendre compte où elle allait. Après plusieurs heures de marche, la jeune fille remarqua qu’il y avait erreur dans la carte. Le titre de la carte n’annonçait pas « carte de la tribu de l’eau » mais bien « carte du temple de l’air».

Oh non! Dites-moi que je rêve! J’ai fais tout ce chemin pour rien…

La jeune fille leva la tête pour observer l’endroit où elle se trouvait. Et ce n’était définitivement pas la place qu’elle recherchait. Des banquises s’étendaient à pertes de vues et l’on pouvait voir la mer.

Bon ce n’est pas grave, les traces de mes pas me reconduiront jusqu’au vill…

En pensant ces mots, Keito remarqua que le vent avait effacé toutes ses traces. La fille de la terre s’avança, perdue, pensant savoir ou elle allait. Après un moment, elle s’arrêta désespérée et fatiguée, elle s’affala lourdement sur le sol qui était en fait de la glace mince. Elle entendit la glace craquer à plusieurs reprises et avant qu’elle ne puisse esquisser le moindre geste, la glace céda sous son poids et elle se fit engloutir par l’eau froide comme la mort. Engourdie par le froid intense de l’eau glacée, la fille de la terre ne pouvait plus bouger. Une fois dans l’eau, flottant entre la vie et la mort, la jeune fille aperçut un navire coulé de la nation du feu au fond de l’eau. L’oxygène commença à lui manquer ce qui signifiait qu’elle allait peut-être bien bientôt mourir noyée.

[oulah, tu n'as pas vu nos RPs, ils sont pires ^^']

J'avais pris, avec l'accord d'Evyle de prendre quelques jours de vacances. Même si je ne considérais pas son entrainement comme un travail, je ressentais le besoin de revenir sur me terres; je ne supportais plus le paysage aride du Royaume de la Terre.

J'étais arrivé la veille, dans la matinée et en avais profité pour voir ou revoir tout mes proches, qui manquaient et à qui je manquais ... pour certains.
Un fois m'être réintégrée au village, à l'activité, aux enfants etc, j'étais allé me reposer dans l'arrière pays, là où la neige s'étend à perte de vue. Je m'y sentais si bien, c'était pour moi une source de bien être, une façon de me détendre et de me ressourcer.
Cela pouvait paraître bête de ce point de vue, mais c'était très important pour moi: j'adorais me promener seule dans un désert de glace.

J'avais donc passé l'après-midi de cette façon. Mais aujourd'hui, je comptais participer à la vie et aux activités du village, même si, après tout, je détestais ça ! Mais il fallait que je me force, je n'étais pas une invitée mais bien un membre de la communauté.
«Je veux aider ! Fis-je avec entrain à la vieille dame qui m'avais recueillit et que j'appelais amicalement "grand-mère"
- Tu m'as l'air bien motivée, tu es malade ?
- Non ! Je sais que je suis paresseuse pour ce genre de choses mais ...
- Mais ?
- Mais je veux aider ! Je sens en moi un flux de bonne volonté, on dirait que c'est tout nouveau pour moi, je ne sais pas pourquoi !
- Tu l'as dit toi-même: tu es paresseuse
- Mais que pour ça !
- ... Elle me regarda d'un air désespéré
- D'accord, pas que pour ça ... mais pour une fois que je suis motivée !
- Soit. Tu veux vraiment aider ? Alors vas-y, hop ! Le balais, la serpillière, le râteau, la pelle, le sceau, le chiffon, le tablier, le rouleau à pâtisserie, le hachoir ... il faut faire le ménage dans les tentes, la cuisine, surveiller les enfants et leur enseigner ce que tu peux ...
- Mais, mais ! Aïe, le balais m'est tombé sur la tête !
- Y a pas de mais ! Il faut faire ça avant de manger et il est presque midi. 3, 2, 1, zou ! Tu es partie !»

En un éclair, la foudre s'abattit sur moi, un déluge de problèmes, une avalanche de choses à faire me tomba dessus.
Je restais pendant quelques seconde ahurie, bouche bée devant la situation; balais, pelle, serpillère, râteau, sceau, chiffon, tablier, rouleau et hachoir dans les mains, ne sachant que faire, par où commencer.
Je décidais finalement de procéder par ordre: d'abord la cuisine et le ménage, les enfants passaient ensuite, surtout pour moi ...
Je me mis à l'œuvre: bazardant dans un coin ce qui ne me servirait pas, je passai un rapide coup de balais dans les tentes en me chronométrant; 10 secondes pour chaque tente, il y en avait 15, je n'en avais pas pour longtemps. Je secouais les tapis, faisais la poussière. En un quart d'heure, j'avais fini.
Je filais à présent préparer le repas: des gamins me tournaient autour alors que j'étais préssée, cherchant à goûter au plat.
[mode Doudi/on] XD
«Non
- Juste un petit peu !
- Non !
- Mais pourquoi ?
- Parce que: NON !
- Mais moi j'en veux !
- Moi aussi !»
Il me tirèrent de toutes leurs forces par le tablier.
«Vous allez me faire tomber !
- Tant mieux !
- STOP !
!BOUM!
- Aïe ! Sales gamins !»

J'empoignais le rouleau à pâtisserie et les poursuivais dans la tente qui servait de cuisine.
«Hoo ! On mange un porc-poulet à midi !
- Ouai !!
- Non ! Ne jouez pas avec le hachoir !
!BOUM!»

Tout se passa très vite: l'un fis tournoyer la lame dans les airs, l'autre grimpa sur la toile et la tente céda, nous recouvra d'un voile bleu. J'eus à peine le tente de récupérer le hachoir.
J'entendis un !CARC! Sec puis un rire sadique et un «Aïe !» avant que ma grand-mère ne débarque.
«Mais enfin que ce passe-t-il là dessous ?»

Elle souleva la toile et découvrit un spectacle horrible: Un des enfants était au sol près de moi, couvert de sang, semblant mort. Je me trouvais assise, le rouleau et le hachoir ensanglanté dans les mains.
«CLÉO !!
- Je ... je ... il n'est pas mort ! Je ne l'ai pas tué !
- TU AVOUES ?!
- Mais non ! Regarde, fis en le secouant, il est vivant ! Coucou toi !
- Hein ?
- Voilà, c'est bien ! Rendors-toi maintenant
- Cléo ! Comment expliques-tu qu'il y ait du sang sur ses vêtements ?
- Heu ... le porc-poulet ! C'est ça ! Il se sont amusés avec le hachoir et l'on fait saigné ! Mais j'ai récupéré l'arme !
- ... Elle me dévisageât avec regard horrifié et pleins de soupçons
- J'AI UN ALIBI ! Je ne suis pas une meurtrière !»

Après quelques explications et grâce aux enfants (que j'ai forcé à avouer), je fus acquittée. Ma grand-mère me conseillât gentillement d'aller me reposer après le repas. C'est ce que je fis: je partis sur le chemin de terre battue en direction de la petite ville la plus proche.
Au bout d'un moment du marche que je trouvais trop monotone, je sortis du sentier pour marcher près de la mer dont les côtes était gelée en cette période de l'année.

Soudain, j'entendis des cris de détresse d'un jeune fille provenant de la plage, non loin de moi.
Je me précipitais pour l'aider; elle semblait en grande difficulté. Mais quand j'arrivais, je ne vis personne. Je scrutais le paysage quand j'aperçus une partie de la glace brisée: elle avait dû céder et la jeune fille était sous l'eau !
J'accourus et m'accroupis pour ne pas faire trop de pression sur la glace. Je cassais la fine couche à plusieurs reprise pour localiser la jeune fille. Au bout d'un moment, j'aperçus une chevelure blonde (?) et pris ma respiration pour attraper la personne par le bras.
Une fois hors de l'eau, elle se réveillât d'elle-même et reprit respiration. Quand elle fut réchauffée, je tentais de la rassurer en lui parlant:
«Ça va ?
- Oui ... non ... je crois
- Comment t'appelles-tu ?
- Keito»

(Désolée si c'est un petit texte mais c'est que je n'aie pas trop le temps en ce moment ^^')

La fille de la terre prit un moment pour respirer des grandes bouffées d'air.Encore un peu sous le choc, Keito peinait à bien articuler ses mots. Un visage compatissant apparut dans son champ de vision.

-Ça va ?
- Oui ... non ... je crois
- Comment t'appelles-tu ?
- Keito

La fille qui venait de la sauver alosr qu'elle était entre les mains de la mort l'observa un moment avant de poursuivre.

-Veux-tu venir chez moi, Keito? Le temps d'assimiler ce qui vient de se produire.

Cette offre était très généreuse de la part de cette fille de l'eau. Keito jeta un regard en direction du trou béant tentant d'apercevoir le navire de plutôt. Un frisson la parcourut.

-Oui...merci.

La fille de l'eau tendit sa main à Keito pour l'aider à se relever.

-En passant, mon nom c'est Cleo Chan.

La jeune fille lui sourit et elles prirent le chemin en direction de la maison de Cleo Chan. Durant le trajet, Cleo lui parlait des activités au village, les tradditions...qu'écoutait seulement Keito d'une oreille discrète. Elle repensait toujours au navire de la nation du feu au fond de l'eau sous la glace. D'où provenait-il?

[Comme c'est ouvert à tous je vous rejoins,en prenant la couleur olive. Désolé si c'est pas long,je dois aller manger.]

-On s'est fait arnaqués!On n'aurait jamais dû accepter!
-En même temps on avait pas tellement le choix. C'était ça ou rien.
-C'est toujours nous qui faisons le sale boulot! Quand il s'agit d'aller chercher la future épouse d'un général,là,y'a des volontaires!
-Mais quand il s'agit de se geler en plongeant sous la mer du pôle nord,c'est nous qu'on envoie!
Nous arrivions à la porte de la cité de l'eau,montés sur des anguilles-lévriers et nous nous apprêtions à entrer quand un garde nous arrêta.
-Le prix d'entrée des animaux dans la ville,c'est dix pièces de cuivre par bête.
-On est pressés et on est en mission pour le royaume de la terre. Laissez nous passer les flaqueux!
-Ca fera dix pièces de cuivre en plus pour insulte à garde. Vous nous devez cinquante pièces de cuivre.
Trois poings dans la gueule et deux coups de pied au c... plus tard:
-Je crois que vous pouvez passer.
Après avoir gratifié le garde d'un sourire condescendant nous entrions dans la cité pour se diriger vers la bibliothèque.
La bibliothèque était gardée mais en voyant le sceau du royaume de la terre,les gardes nous laissèrent entrer en s'inclinant un peu et
il nous dirigèrent vers la salle que nous cherchions.
-Cette salle n'est ouverte généralement qu'aux généraux et amiraux mais puisque vous avez une autorisation,je vous laisse entrer. J'espère que vous trouverez ce que vous cherchez.
-Merci monsieur. Nous trouverons sûrement.
Après deux heures de recherches,nous avions trouvés tout les livres qui nous intéressaient.
-Peut-on emporter ces livres?Nous en aurions besoin.
-Bien sûr!Ce ne sont que des copies. Nous sommes ravis que vous ayez trouvé ce que vous vouliez.
Nous sortîmes de la bibliothèque pour nous diriger vers la porte nord et la banquise.
Après deux heures d'anguilles-lévriers,nous nous arrêtions pour examiner la banquise.
-On commencera les recherches demain.Il y a un village pas loin. Nous allons essayer d'y passer la nuit.
Nous nous dirigeâmes vers le village où,visiblement,une fête se préparait. Tout les habitants s'affairaient.
(Ce village est évidemment celui de Cleo.)

(petit up)

J'étais dans un bateau en direction de la tribu de l'eau quand près de la banquise et de la tribu j'entendit un cri je regarda dans tout les sens mais je ne vit rien, J'étais à la base venu pour rechercher une babiole et prendre l'air de la mer et de la banquise, Mais en arrivant près des énormes ramparts de la tribu je les regarda et dit:

Pas aussi grand qu'a Ba sing se

Ainsi j'attendit cinq bonnes minutes avant d'amarrer. Ce cri m'intriguait je m'approchis donc de la place et vît une fille trempée, je m'approchit et lui demanda:

Royaume de la terre ?
Oui je me doute qu'avec vos fourures vertes que vous aussi
Si vous voulez un bateau je me ferais un plaisir de vous raccompagner au Royaume mais j'ai une visite et des recherches à faire d'abord, vous me trouverez autour de la cité tout les matins

Et je m'en alla en direction du magazin de cartographie,ou un monsieur sourd se trouvait:

Je veux une carte de la région des banquises

Il se regardait dans un miroir et semblait réflechir il me regarda et me demanda ce que je voulait.
Je lui répeta fortement ce que je cherchais et il me le donna.

Je n'allais pas commencé mes recherches tout de suite j'alla dans une auberge et je me reposit.

Une fois au village je proposais une chambre à Keito. Celle ci, malgré qu'elle croulait sous les couvertures, grelottait toujours de froid. Ou de peur. Mais ce n'était qu'une supposition. Son teint pâle et son expression bouleversée confirmèrent qu'elle avait été effrayée. Mais sa noyade ne devait pas être le seul facteur de sa peur.
« Comment te sens-tu ?
La jeune fille ne me répondit pas tout de suite. Elle semblait perdue dans ses pensées, emportée dans des songes profonds. Puis elle leva vers moi des yeux inquiets.
- J'ai froid
- Oui, tu trembles, mais cette sensation va passer. Tu es sure qu'il n'y a que ça ?
- Oui, oui, ça va aller »

Je n'étais pas certaine de ce qu'avançait Keito. Elle ne me disait pas tout, mais son comportement était compréhensible: elle me connaissait à peine. Mais elle paraissait troublée et anxieuse. Pendant le trajet, je m'étais aperçue que ce que je lui disais ne l'intéressait guère. Elle était préoccupée, et semblait encore l'être. J'étais soucieuse de son état et souhaitais lui venir en aide, mais elle se repliait peu à peu sur elle même. Je compris qu'il ne fallait pas que je persévère. Je sortis et laissais la jeune fille seule, espérant qu'elle médite et qu'elle se décide à se confier à moi.
J'avais besoin d'un homme volontaire pour retourner sur les lieux où Keito avait failli se noyer et y découvrir la source de sa crainte. Je pensais immédiatement à Reiko, qui était venu nous accueillir et que je connaissais depuis peu, mais déjà suffisamment pour être témoin de son courage.
« Reiko ! Pourrais-tu me rendre un service ? Tu vas sans doute trouver ce que je te demande inutile, mais j'aimerais que tu ailles où j'ai sauvé Keito, sur la banquise près de la mer. Je ne sais pourquoi, mais elle est très angoissée, j'aimerais savoir pourquoi
- Tu as raison, je trouve que tu m'y envois pour rien: elle a eu peur de se noyer, elle est encore sou le choc, c'est normal !
- Oui, mais mon intuition me dit que ce n'est pas la seule cause, s'il te plait, va voir si tu trouves quelque chose ... ou quelqu'un, on ne sais jamais ! Je reste avec elle et essaie de la faire parler »

Reiko accepta et s'en alla de suite. Quand à moi, je retournais auprès de Keito. Lorsque j'entrais, la jeune fille n'avait plus froid, mais son teint blême confirmait mon hypothèse. Je posais alors sur elle un regard lourd de sens, la forçant à me parler:
- Non, ce n'est pas tout ... » me dit-elle en baissant les yeux.

Résignée, elle se décida à me dire la cause de son effarement: la jeune fille, alors qu'elle se noyait, elle avait distingué un navire de la Nation du Feu au fond des eaux. Je pensais qu'elle avait peut-être mal vu, mais elle était sure d'elle. La présence de ce genre de navire sur les côtes du pôle Nord ne m'étonnait guère; la Nation du Feu, lorsque la guerre faisait rage, avait affrété sa flotte pour envahir les Tribus de l'Eau. Je ne comprenais pas vraiment la cause de son angoisse, la perturbant au point de la rendre livide.
« Tu sais, il y a de nombreux bateaux coulés non loin des rivages, par ici
- Non, celui là était spécial
- Pourquoi donc ?
- J'ai vu de la lumière à l'intérieur ... »

Une journée passa la jeune fille n'était pas devant la ville donc je pouvais continuer mes recherches j'etait venu pour trouvé un message de mon pere décedée il ma dit que le message etait sur un ancien lieux de son passage.
Je devais me renseigner, mais je preferais commencer par me promener dans la toundra gelée j'était prés d'une falaise au bout de vingt minutes.

Tout se ressemble ici T.T

je regardai, dans tout les sens rien hormis l'eau et la glaçe.
Je m'asseya et j'attendit un signe puis en regardant l'eau je vis des bulles sortir, je regarda la falaise quelqu'un etait tombé surement cette fille, Keito je crois.

mais je me sentit attiré par cette drole de lumiere s'echappant de l'eau, je me pencha, et je tomba alors la je me dit que sa y est j'aurai pas autant de chance que keito adieu monde cruel mais d'un coup une plateforme de glaçe se créa et je regarda dans tout les sens et je ne vis rien je decida d'attendre un peu et de méditer.