J avais terminé depuis peu une de mes missions et j avais décidé de recommencer mon entrainement. J étais passé par la tour du savoir et avait été attiré par un rouleau d une technique inventé par Kestrel, une grande maitresse de l air. J avais emporté le rouleau avec moi pour apprendre la technique. D après la technique il fallait une concentration et une maitrise du chi irréprochable. Ainsi qu une parfaite communion entre notre chi et l air alentour. Et pour ceci, rien de mieux qu une bonne montagne bien haute. Je montai sur mon scooter d air que je fis en une fraction de secondes. Je montai au sommet d une montagne a bout plus ou moins plats et de là, j observai brièvement la vue que m offrait la montagne. Un grand lac s étendait a perte de vue et je sentis l air autour de moi; j étais en parfaite communion avec l air autour de ma personne. Je déroulai le rouleau pour lire les étapes a suivre. D abord je devais faire confiance a mes sens intérieur, a mon chi. A sentir le flux de l air autour de moi et condenser ses particules ainsi que mon chi. Mais pour cela, je devais méditer, je le savais pour que l exercice soit plus facile d abord.
Je m assis au sol et me concentrai. Je respirais profondément et lentement, en essayant de ressentir les flux de l air. Je ne devais me fier a mes sens extérieur. Je fermai les yeux et fermai mes sens au messages extérieur pour pouvoir enfin ressentir les flux aériens. Je ressentais les brises, chaque brise, et chaques courants d air présents dans la montagne. Je m amusai même un instant a modifier les brises de cette montagnes, a les diriger selon mon bon vouloir en bougeant ma mains et mes doigts. Puis cessant de m amuser je les fit reprendre leur cours normal. Puis je commençai a diffuser de mon chi dans l air ambiant, faisant tout pour ne pas le laisser s évader n importe où. Mon chi imprégnant chaque particule, chaque molécule d air présente. Puis quand j estimai que j avais relaché assez de chi, je rassemblai les particules que j avais mises sous mon controle autour de moi. Puis passant desuite a la deuxième étape, je les condensai sur 360° degrés de ma personne, mais un papillon vint se poser sur mon nez et me déconcentra. Tout l air que j avais emmagasiner autour de moi se dissipa en un soupir et les feuilles des arbres autour de moi se plièrent sous le vent.
Je me remis a méditer et rassemblai e plus d air possible autour de moi avec mon chi. Puis instantannément, je compatai et rassemblai tout l air et les molécules que j avais emmagasiné. Tout en gardant le controle de ma technique, je me levai et me concentrai sur mes mouvement. Puis en collant mes poings l un contre l autre, je relachai le chi que j avais emmagasiner. Mais il ne fit pas l effet escompté. Il ne lacha qu une légère brise autour de moi. J avais trop modéré sur le chi. Je recommençai cette fois ci directement debout et plus vite. Je commençais a m habituer au concept de la technique. Et cette fois ci, je mis une très grande quantité de chi. Et cette fois-ci, la technique créa une telle onde de choc, que l air autour de moi créa une explosion et creusa un trou dans le sol, déracinant par la même occasion quelques arbres. Je m effrondrai sous la perte subite et immense de chi. Je me réveillai quelques minutes plus tard avec un petit mal de tête. J avais compris le principe et je savais maintenant a peu près quelle quantité de ch qu il fallait mettre. Je retournai le lendemain en haut de la montagne et cette fois ci je passai directement a la technique sans passer par la méditation. Ayant compris le principe de la technique, je fis les trois étapes d un seul coup. Je rejoignis mes poings et relachai l air que j avais emmagasiner. Cette fois-ci, la technique était parfaite. L onde de choc créée plia les arbres sans pour autant les déraciner.
J avais réussis a maitriser la technique.