Une mission particulière....

Je marchais tranquillement sur la route pavée. Tout était calme et rien ne laissait présager que je me situais dans le territoire des nomades de l'air. Il fallait que je me rende en ville. Un de mes informateur m'y attendait. En tant que soldat, je me devais d'effectuer ma mission le plus rapidement et discretement possible. J'étais habillé en civil, avec une tunique legerement rembourré au cas où. Arrivé a bonne hauteur je trouva un panneau qui expliqua les règles a respecter de cette ville suivi d'un plan. Je mémorisa les points clés pour ne pas me perdre. Mon informateur ce trouvait dans un quartier aisé de cette ville. Il faudra que je sois prudent dorenavant. On ne sait jamais ce qu'il peut arriver içi. Bien que je ne considère pas le terrain comme étant hostile, cela ne sinifie pas que ses habitants sont des alliés. Je m'avanca dans la ville. Un cri retentit au dessus de moi. Je leva les yeux et vit dans le ciel un bison volant chevauché par un nomade de l'air. Il faisait surement une patrouille. Je passa mon capuchon par dessus ma tete pour masquer mon visage.

Mieux vaut etre prudent....

Une immense ville se dressait devant moi. Pleine de vie, de joie. Il était difficile d'imaginer ces gens se battre tellement ils avaient l'air gentil. Je me concentra sur le quartier que j'avais localisé sur la carte. Il me fallut un certain temps avant de trouver l'auberge en question. J'entra à l'interieur. Cela grouillait de vie. Dans un coin plus sombre un petit homme me regardait. Je m'assis a sa table. Le serveur vint pour prendre ma commande et je lui dis un thé au jasmin. Puis je revins sur mon interlocuteur.

-Alors? Qu'elles sont les nouvelles?

-.... Il semblerait que des pillards ce soit installer plus loin dans les montagnes. Ce sont des anciens de ta nation. Il faut les éliminer en évitant les pertes civiles.

Mon informateur était en fait un éclaireur des nomades de l'air. Il partait là ou aucun autre ne s'aventurait et il avait découvert des campements dans les plaines, au dela des montagnes. D'apres ses dires, ils avaient fait mouvement vers la ville et comptait tout piller comme les précédentes. J'avas reçu un peu plus tot dans la semaine une mission me disant de tuer les traitres de notre nation. A la suite d'une enquete, je me suis rendu comtpe que ces "bandits" comptaient une cinquantaine d'hommes récupéré parmis les criminels de TOUTES les nations et pas seulement la mienne. Une vraie organisation. Ils pillaient les villages qu'ils croisaient et cette ville en faisait partie. C'était une vraie menace et il fallait que je les en empeche. Ou plutot que je les tue car me voir aider des nomades est dangereux pour moi...

-Comment tu compte-t'y prendre? me demanda l'homme, me tirant de mes pensées.

-Je compte d'abbord me rendre compte par moi meme de leur nombre. Puis j'aviserais. J'ai déjà pensé a une stratégie ne t'inquiete pas.

-Toujours aussi prévoyant..... Bien tu m'excuse je dois y aller. Mon sergent va me tuer si je ne suis pas a mon poste. Et n'oublie pas, on ne c'est pas vu et...

-On ne se connait pas je sais.....tu peux y aller.

L'homme quitta l'auberge précipitemment. Je le suivi quelques minutes plus tard, le temps de m'habituer a ce brouhaha général. Je sorti dehors. Le rue toujours aussi bondée, me rappellait les jours de marché a la capitale. Les memes bruits, la meme atmosphère. Je quitta la route pour aller dans une ruelle plus fraiche et vide. Il fallait que je passe ces montagne pour voir ces bandits.... Mais comment faire? Je me massa les tempes et une altérnative me vint a l'esprit.

-Je vais peut-etre devoir m'associer a quelqu'un.....


____________________________________________________


Prevenez moi par MP quand vous voulez participer! Merci ;-)

Mon soldat revenait de sa pose déjeuner et comme d habitude me salua et fit son chemin. Il était comme d habitude, légerment inquiet et soucieux et nerveux. A croire qu il me cachait quelque chose. Je l avais suivit grâce a l air et un moment il avait discuté avec un individu qui part son chi ressemblait a un maître du feu mais par ses habits a un simple villageois. Je décidai de le suivre. Je fis un énorme bond qui enleva la moiié de la distance qui me séprait de lui puis un autre bond qui me permit d arriver non loin de lui mais tout de même a une distyance assez grande pour le suivre en toute discretion. Il se dirigeais a la sorti de la ville, vers les montagnes.

Il s engagea dans les montagnes et je le suivit a la trace. Pour ne point faire de bruit dans la forêt ou les feuilles risqueraient de me trahir, je sautais d arbre en arbre aussi silencieusement qu un oiseau qui se pose sur une branche. Plus haut il y avait une petite rivière très belle mais je me doutais que ce n était pas pour cela qu il s était aventurer dans cette montagne. Il atteignis la rivière et sortit une bouteille d eau qu il remplit. Apperement, d une façon ou d une autre il connaîssait cette montagne, quelqu un lui avait surement dit ce qu il savait sur ce lieux et j avais une petite idée de qui ca pouvait être. Puis il continua son ascenssion .

Un bruit. Dans les buissons. Surement un animal. D un geste vif de la tête, il jaugea le coin en posture de combat typique des maîtres du feu. Un sanglier sortit des buissons et l inconnu lança un torrent de flamme qui grilla le sanglier. Maintenant plus aucun doutes. C était un maître du feu. Il mit le sanglier sur ses épaules et le transporta ainsi pendant des heures. Puis la nuit tomba et il fit une tente et fit un feu avec des brindilles. Il prit un petit couteau, alla vers un arbre et commença a couper un morceau. Il le tailla en une brochette et empailla le sanglier qu il mit au dessus du feu. Après avoir laissé bien griller le sanglier il coupa un morceau et mangea puis mit le reste sur quelque chose que je ne pouvais distinguer et adressa un regard vers ma direction.

Il avait du me repérer. Il s endormis longtemps après. Peu après son assoupissement un ours arriva attiré par l odeur de la viande. Je ne pouvais pas me battre ici sinon je réveillerai l inconnu. L ours mangea le morceau de viande et parti. Je suivis l ours et quand nous fûmes (l ours et moi) hors de porté d entente de linconnue, je fondis sur lui en lui assénant un puissant coup de poing sur la tête. Puis je lui assénai un terrible coup de pied dans le ventre et sans même qu il ait pu partir sur le choc du coup, je fus derrière lui et enfonça mon poing de son dos. Il tomba au sol, mort.Je le mis sur mes épaules et le transporta jusqu a la tente de l inconnu, je le mis debout sur un arbre et coupai son bras. Anc soin j enlevai ses griffes et fit griller le morceau puis le mangeai et laisser le reste de lours devant sa tente.

Je sortis de la ville peu de temps apres avoir rencontrer mon informateur. Je me dirigea vers les montagne. Elles étaient immenses mais selon le plan que l'éclaireur m'avait discretement fourni, je ne me perdis ni dans la forêt, ni dans l'imensité rocheuse de la montagne. Apres plusieurs heures de marche, j'arriva vers une petite rivière comme stipulé sur la carte. J'y rempli ma gourde pour ne pas manquer d'eau. Je continua alors mon chemin et une centaine de mètres plus loin, un bruit se fit entendre de derriere moi. Je me retourna mais rien. Puis, comme venu de nulle part, un sanglier jaillit d'un buisson. Je n'eus pas le temps de me poser de questions et envoya un torrent de flamme sur le pauvre animal qui finit brulé au dernier degré. J'emporta la carcasse avec moi pour m'assurer de la nourriture. Cela m'éviterais de me servir de mes reserves de nourriture. Pourtant, hormis le bruit du sanglier quelque chose d'autre avait attiré mon attention. Un infime bruit, plus leger que le murmure d'une brise.

Surement mon imagination...

Je continua ma route jusqu'à ce que la nuit me forca a étendre mon camps. Je posa la carcasse du sanglier, rassembla des brindilles et fit un feu. Je sortis mon couteau de ma poche et tailla une plus grosse branche afin d'empaler le sanglier dessus. Apres avoir préparer tout cela et en attendant que mon sanglier ne cuise, j'installa ma tente. Je deballa mes affaires et cacha mon épée dans la tente. Cette derniere se trouvait auparavant dans ma tunique, sanglée a mon dos, de telle sorte que personne ne pouvait la voir. Et heureusement car si on m'avait vu avec cette arme en ville cela aurait paru plus que suspect. Je coupa un morceau du sanglier et lorsque je fus repu, j'en coupa un morceau dans un plat taillé dans une buche. Je regarda a travers la pénombre et quelque chose en moi disait que j'étais suivi. Si j'aide cette "personne" peut-etre pourra-t-elle m'aider en retour. Je m'endormis apres avoir fait un long briefing de la journée d'aujourd'hui et de demain par la meme occasion. Rien ou presque ne troubla mon sommeil. A part quelques bruits qui me parurent etre des animaux de la nuit.
Le lendemain, je me reveilla avec devant ma tente, des restes de ce qui n'était pas de mon sanglier. De toute évidence, quelqu'un avait mangé dans mon camps lorsque je dormais. J'attaqua avec appetit ses restes esperant qu'ils n'étaient pas empoisonnés. Puis, je rangea mes effets dans mon sac ainsi que mes armes. J'avais une etrange sensation d'etre suivi et ce n'était pas tres agréable.

Si je suis suivi, j'ai interet a savoir qui est sur mes traçes avant d'arriver au camps des bandits. Cela fait une variable a ajouter a mon plan mais ça pourrait marcher....

Je marcha toujours dans la direction de la carte. Puis je saisis enfin ma chance d'avoir celui qui me suivait. Alors que j'approchais d'une pente abrupte, un bruit de branche qui se brise retentit. Je me retourna, envoya un trompe de flamme bruler le buisson en évitant de bruler celui ou celle à l'interieur puis déguaina mon épée. Je me mis en position que mon maitre m'avait enseigné lors de mes cours de Kung Fu et de Taï Chi. J'attendis que se dissimula la fumée pour apercevoir un jeune garçon. Vétu comme un nomade et étant plus jeune que moi. Il ne semblait pas effrayé et meme sur de lui. Je n'étais pas résolu a répondre a ses questions tant que les miennes restaient irrésolues. Je lui lança donc:

-Qui es-tu et que fais-tu à me suivre?

Il se leva doucement. Me fit signe qu'il ne voulait pas se battre mais je ne baissa pas ma garde pour autant.

Tant qu'il ne me repondras pas, je ne lui dirais rien sur moi ou ma mission. Mais peut-etre pourrait-il m'aider....je verrais cela....

Je le regardais fixement, il semblait se méfier de moi ce qui était totalement normale et pourtant ce devait être moi qui devait me méfier de lui. Et cette question qu il venait de me poser, c est moi quo devait la lui poser mais bref, puisqu il voulait un réponse alors je lui en donnerai une.
-Je sais que tu as parlé avec l un de mes soldats et je suppose donc que c est lui qui t as donné toutes ces informations sur lieu. Et puis tu es un maître du feu, qu est ce qui tamènes ici ? Et comment tu connaîs mon soldat ? Bon assez parlé de moi, parlons on peut de toi si tu veux.

Il se remit de bout, rengéna son épée, se retourna et fit son chemin. Mais on dirait qu il m insitait a le suivre. Donc je le suivis et il ne broncha pas. On marchait tranquilement et il me regardait fréquement pour voir si il n y avait pas d anomalie ou si je n allais pas l attaqué. Il semblait moins méfiant mais l était toujours. Tout semblait calme, vraiment trop calme. Je ne pouvais m mepêcher a certain moment de m arreter pour vérifier qu on étais pas suivi. Mais marchant, ma capacité a localiser était diminuée. Il était aussi méfiant que moi mais il ressentais comme une légère euphorie que je pouvais percevoir. Etait ce le fait qu on soit suivi qui le réjouissait, pour une raison ou une autre ? En dirait bien que ca méfiance tirait un peu vers la satisfaction. Il était venu ici pour quelque chose de précis et peut être qu il était presque arrivé a son but. Il s immobilisa.Après quelque seconde, nous reprîmes notre chemin. La nuit se fit et nous n avions que les restes de hier. Nous mangeâmes et j allai dormir ailleurs. Il me regarda mais ne dis rien

Le jour se leva et je me réveillai le premier. L in connu était encore en train de dormir. Je décidai de monter la garde jusqu a son réveil. Des son réveil je lui poserai les questions qui me tourmentaient les esprits depuis hier. Mais il ne s était pas encore réveiler. Je me concentrai por ressentir la présence d éventuelle personne ou animale aux alentours. Je repérai un sanglier. Je décidai de laisser seul l inconnu pour aller tuer le sanglier pour ce soir. Maintenant j étais en haut du sanglier. Il ne se doutiat de rien. Il ne savait même pas que j allais le tuer. Mais je ne pouvais faire autrement. C était pour notre survie. Ou plutôt pour la mienne car je pensais que l inconnu avec moi avait des provisions. Je fondis sur le sanglier et lui asséna un terrible coup de pied pour lui briser la colone vertébrale. Il mourut sur le coup. Je le raportai et a l endroit ou on était. L inconnu c éyait réveillé.

Je lui demandai son nom et après une légère hésitation il me répondit. Puis après avoir tout rembalé, nous repartîmes. Puis j engageai la discussion sur un ton amical pour me renseigenr sur lui. Apperement il était soldat du feu. Il ne manqua pas lui aussi de me poser des questions et soudain, des personnes surgirent de nulle part. Un était en l air. Je profitai pour sauter et lui donner un coup de pied dans la tête et enchaîna avec un coup de poing quand il fut au sol. Masao lui avait déja mis hors d état de nuire deux assaillants. Il en restait trois. Je fonçai sur deux d entre eux et passai derrière eux avec ma vitesse et les entravèrent avec des serpents de vents puis broyai légerment leurs os, de manièe a les laissé en vie. Masao lui avait fini avec le troisième et semblait vouloir poser des questions aux deux autres.

Il me repondis sans faire d'histoire mais semblait aussi vouloir en savoir plus sur moi. Je rengaina mon épée. Elle ne me servirait pas avec lui. Il pourrait surement m'aider alors autant faire en sorte de ne pas me battre. Je m'arretta et lanca un leger regard derriere moi pour qu'il me suive. Ce qu'il fit. Je marcha quelques metres puis m'arretta. Je me sentais presque bien. Peut-etre étais-ce parce que je croyais que la mission allait etre plus simple avec un maitre de l'air avec moi ou tout simplement parce que..... Non. Je n'avais aucune explication et pourtant je me sentais bien. Pas heureux, mais bien.
Je continua la marche avec l'inconnu derriere moi. Au bout d'un moment il se mit a mon niveau. Jessy...... c'était ainsi qu'il avait dit qu'il s'appellait. Ou peut-etre n'était-ce qu'un nom de voyage pour qu'on ignore son véritable nom? Nous continuames notre route jusqu'à la nuit. Nous établimes un camps sous un arbre pour etre a l'abri d'une éventuelle pluie. Nous mangeames en silence et le nomade alla s'installer un peu plus loin. Je ne dis rien. Apres tout c'est normal on ne se connaissait meme pas. Mais il me faudrait surement coopérer avec lui alors autant etre compréhensif.

Le lendemain, je me reveilla seul. Le nomade était parti surement chasser alors autant ne pas m'inquieter. Je me leva et regarda la distance parcourue depuis mon départ. Je ne voyais qu'un plaine avec des pics montagneux au bout. De l'autre coté, la meme chose. il y avait bien la foret qui s'étendait sur notre gauche et que nous longions depuis le début mais c'était tout. Il y avait aussi d'autres montagnes et c'était surement derriere que ce cachait le camps des brigants. Cependant etre deux ne suffira pas a battre tout ces maitres. Surtout si ils sont tous des différentes nations. Je fus interrompus dans mes pensées par un bruissement derriere moi. Je me tourna et Jessy était là avec une carcasse sur son dos. Pendant la cuisson du sanglier, il se risqua a me demander

-Comment t'appelle-tu?

J'hésita. Je voulais donner un nom de substitution mais cela ne baserait pas notre "groupe" sur la confiance.

-Masao....

Nous quittames le camp apres avoir enfouis les abats du sanglier pour ne pas attirer les charognards. Puis, en marchant, il chercha a se renseigner sur moi et je repondis volontier mais garda secret le but de ma venue. Nous échangeames quelques propos sur un ton amical.

Peut etre suis-je en train de me faire un ami....

Soudain, des cris rententirent. Un groupe de six hommes armés sortirent de nul part. Un se trouvait en l'air et Jessy sauta pour s'occuper de lui. Deux foncerent sur moi. Je sortis a moitier mon arme laissant aparaitre le métal sans dégainer complétement. L'un des deux chargea sa lance vers moi que j'esquiva d'un pas sur le coté. Le second en profita pour se glisser sur ma gauche afin de me porter un coup au niveau de la hanche. Cette fois je sortis mon arme pour parer le coup. Avec le plat de ma lame je me bloqua son couteau. Le premier homme rabattis sa lance dans ma direction et je sauta pour l'éviter. En l'air je lui envoya un coup de pied au visage. Il fut projeté par terre. Quand je retomba au sol, le second retira son couteau de la lame de mon épée pour rententer un assault. Il failli me surprendre mais j'envoya inextremiste un coup de la garde de mon épée contre son cou. Il recula en vacillant et d'une rotation rapide je fis fondre un poing rageur au niveau de sa cage thoracique. Il termina comme son compagnon. Jessy en avait fini avec l'autre et courrut en direction des trois autres. Il les pris au piege avec des serpents d'air qui broyerent les os de leur jambe. Je rengaina mon sabre et frappa du bout des doigts sous les bras et aux aducteurs pour empecher toute fuite. Le dernier brigant se retrouva ainsi a terre dans l'impossibilité de bouger, ses articulations bloquées par mes coups. Je le saisi au col pret a lui poser des questions.

-Ou sont-ils?

-Je vois pas de qui vous voulez parler! me lacha-t-il, une note d'arrogance dans ses paroles.

Je pris un peu de sable sans une boite de mon sac que je gardais toujours pour ce genre de conditions...

-Imagine un grain de sable incandescent dans l'estomac. Il descendra lentement brulant tout sur son passage. Le temps qu'il sorte de ton corps, tu sera surement un vieux papy. J'ai dans ma main plus qu'un grain de sable. Ne t'inquiete pas, ça sera juste plus rapide.

Sur ce dernier mot je fis chauffer le sable de tel sorte qu'il fumait legerement. A cette vue, l'homme prit peur et parla tres vite.

-Derriere les montagnes! Il y a un avant poste. Les brigants n'ont pas encore quitté le camps mais ce n'est qu'une question de temps. Mais qu'est ce que ça peut vous faire? Je ne vois pas comment deux gamin pourraient.....

Je le fit taire en lui assainant un coup derriere la nuque. Les autres semblaient déjà K.O. Je me tourna vers jessy.

-Laissons les là. Si ils reviennent a leurs camps nous les auront. Et puis, si ils partent vers ta ville, les nomades pourront les capturer et les questionner.

Il me fixa intensement. Il semblait avoir compris le but de ma mission. Je le regarda a mon tour.

-Allons-y. Il nous reste surement deux jours de marche avant d'arriver au point prévu.

S'il me questionne je lui répondrais. Je n'ai pas le choix apres tout si je dois établir un plan, autant qu'il soit au courant tout de suite.

Nous repartimes, laissant les corps a la merci de qui voudrait bien d'eux.

On marchait tranquilement. Aperement les brigands qu on avaient rencontré avaient donné a Masao les renseignements qu il voulait. On se dirigeais vers les montagnes. On devait aller derrière les montagnes et rapidement,le plus rapidement possible. Je lui posai alors une question :
-Pourquoi tu recherches ces brigands ?
-Ca fait parti de ma mission. Je dois réusir a les tuer tous. Et j aimerais bien que tu m aide dans cette tache.
-D accord. Mais pourquoi ces brigands spécifiquement. Ce sont des brigands oui mais pourquoi ceux ci et pas d autres?
-D abord parce que c est un ordre et parce que ce son des brigambs de la pire espèce. Ils pillent tous les villages qui ne peuvent pas faire face a eux. Quelques fois, on retrouve des morts brulés au troisieme degré, des personne enfermés dans des monticules de pierre depuis trois ou quatre jours. Ce sont des monstres. Il tremblait de rage mais continua. Il y a en a de toutes les sauces, des maîtres d arme, des maîtres en ninjutsu et des maîtres des éléments.

Il était si énervé que l air autour de nous se réchauffait de plus en plus. Je refroidis l air avec ma maîtrise et mis une main sur son épaule pour le calmer. Il se calma et je cessai d utiliser ma maîtrise. Il avait de bonnes raisons d être énervé. La nuit tomba et nous élevâmes notre camp. Quand j allais partir dormir ailleurs apres avoir mangé ce que nous avions chassé dans la journé, il me dis de rester ce que je fis sans trop de regrêt. Il avait une autre couette. En dirait qu il avait tout prévu et qu il voulait une aide mais ne savait tout de même pas qui allait l aider. Avant d aller dormi, je voulais vérifier si les personner qu on poursuivait étaient toujours l. Après quelques secondes je pus les sentir et me coucha. Tout de même je restais a demi-éveillé au cas ou. Masao aussi n était pas totalement endormis. Le lendemain matin je me rassis en posture de méditation pour vérifier la position des brigands. Ils étaient toujours là mais ils étaient plus actifs. Ils commençaient leur déménagement.

Je me retournai pour réveiller Masao mais il était déja debout et avait senti la même chose que moi a cause je suppose de l augmentation de la chaleur de leur corps. Nous rangeâmes attivement notre campement et coururent vers l endroit indiqué par les deux autres brigands. N étant pas très loin de leur camp, nous arrivâmes avant qu ils n ait pu déménager. Masao n attaquait pas. Moi non plus. En dirait qu il voulait juste voir ils allaient déménager. Puis il sortit de son sac une petite capsule ou il appuya un bouton au dessus ce qui aspira nos affaires de campement. Puis nous nous mettèrent a les suivre. Ils ne se doutaient de rien. On ls suivaien aussi silencieusement que possible. Un moment, un brigand s arrêta et dit a ses compagnons :
-Attendez je reviens.
Puis il partit dans notre direction. Sans réfléchir je pris le bras de Masao et sauta dans un arbre avec le plus de feuilles possible. Deux secondes plus tard, il était la ou on était auparavant.

Masao allait fondre sur lui mais je le retins. Le brigand partit et nous redescendîmes. Puis nous entendîmes sa voix :
-C est bon il n y a rien.
Puis Masao me dit :
-Pourquoi tu m en a en empêché, ça aurait fais un de moins.
-C est vrai, mais les autres se seront apperçus de sa dispariton et auraient trouver sa louche.
Puis nous continuâmes a les suivre. Ils allaient toujours plus loing puis j entendis une voix qui dit:
[color=olive]-On va s installer ici pour un demi mois. Maintenant vérifiez le périmètre et assurez vous que personne ne nous dérange. [/color
]Sur ces mots quelques hommes partirent et je repris le bras de Masao et sauta dans un autre arbre. Ca proccurait une sensation de mal être de sauter comme ça dans les arbres. Nous attendîmes un moment puis les hommes revinrent au campement et nous descendîmes.

-Maintenant on doit rentre au village faire plus de provision et se reposer un peu. On a un demi mois pour les attraper mais j aimerais terminer ça au plus tard après demain. Ca devrait pas nous prendre trop de temps de cette forêt si on y va maintenant. Il commença a marcher mais moi je couru en sa direction, pris sa main et sauta d arbres en arbres. Ca allait plus vite.

Apres avoir assomé les quelques bandits, on se remit en route. Il fallait traverser la montagne et j'avais obtenu les informations que je voulais. Mais, Jessy finirait bien par me demander ce que je voulais..... logique puisque pour l'instant il ne sait pas vraiment mon but en venant dans cette région. Je regarda derriere moi et Jessy capta mon regard. Il me questionna:

-Pourquoi tu recherches ces brigands?

Je devais lui répondre. Il fallait qu'il le sache pour pouvoir m'aider au mieux.

-Ca fait parti de ma mission. Je dois réusir a les tuer tous. Et j'aimerais bien que tu m'aide dans cette tache.

-D'accord. Mais pourquoi ces brigands spécifiquement. Ce sont des brigands oui mais pourquoi ceux ci et pas d'autres?

Cette fois je ne pus me contenir. C'était la premiere fois que je ressentais la colere. D'habitude, je ne me laissais pas emporter par mes sentiments amis revoir ce village, ce bébé mort, les corbeaux se nourrisant de leur chair, la vie qui avait quitté tant d'etres humains en si peu de temps, le regard éffaré que je lança a la découverte d'un couple qui se serrait dans une ultime étreinte, se protégeant mutuellement. Je ne pouvais contenir ma colere. Pendant que je lui répondais, je chauffa, à mon insu, l'atmosphere ambiant. Jessy posa alors une main amicale sur mon épaule se qui me calma. L'air se rafraichi avec une brise bienvenue. Je retrouva ma constance habituelle et lui rendis son regard. Il semblait comprendre pourquoi je voulais les tuer et pourquoi j'avais besoin de son aide. Nous reprimes notre chemin et Jessy partit chasser comme la veille. Apres avoir fini notre repas, je l'invita a rester dormir. Il accepta et étala la couverture que je lui avait tendu par terre, pres d'une souche d'arbre. Durant la nuit, nous restames à demi-eveillé comme pour prevenir d'un eventuel assault. Le matin, jessy se reveilla avant moi et je ressentis son aflut de chi.

Il doit surement tenter de trouver les bandits.....

De ma position alongée, je fis la meme chose. Puis, je me leva d'un bond. Ils sembaient beaucoup plus agités que la veille. Nous mangeames a la hate et rembalames le camp. Cela ne signifiait rien de bon. J'avais prévu une marge d'erreur d'une demi-journée si il partait trop tot. Mais se déplacer maintenant? Quelque chose devait les pousser a aller vers la ville. Nous nous déplacames a l'ombre, profitant de chaques endroit pour parraitre invisible. Puis, nous atteignimes l'avant poste. Une tour avec un groupe de cinq. Un portait une énorme hache dans son dos et les autres des sortes de dagues au poing. De toute évidence, c'était le groupe d'éclaireur pour éviter que quelqu'un ne les repere. Un des leur regarda dans notre direction puis annonca aux autres qu'il allait revenir. Jessy me tira en arriere et quelques minutes plus tard, le meme bandit était la ou on se trouvait précedemment. Il repartit et je voulut saisir ma chance de l'abattre. Les memes images revenaient sans cesse dans ma tete et je perdis le sang froid encore une fois.

-C'est vrai, mais les autres se seront apperçus de sa dispariton et auraient trouver sa louche, me repondit Jessy quand je lui eut demandé pourquoi il m'avait emeché de le tuer.

Il a raison. Calme toi bon sang!

Je ne devais plus perdre mon calme ou cela risquerait de nous porter préjudice. Puis jessy me prit par la main et nous fit quitter l'endroit. Il me dit que l'on devait trouver des renforts. Seul, nous ne serions que des victimes de plus pour eux. Nous nous rendimes là ou se trouvait notre camp le matin meme. Jessy prit une sorte de petite flute et souffla dedans. Aucun bruit ne se fit entendre mais de loin un aigle apparut. Il se posa, majesteux, sur le bras de Jessy. Il attacha un message a sa patte. Puis l'aigle s'envola aussi vite qu'il était venu.

-Bien, me lanca-t-il, il ne nous reste plus qu'à attendre demain. Nous surveillerons l'avancée des bandits mais nous attendrons la venue des renforts pour attaquer.

J'aquiesca. Il nous fallait des hommes. Du coup nous nous assimes, et attendirent patiemment. Je reflechis. Il nous fallait un plan d'attaque. Meme avec les renforts, les brigands seraient toujours supérieur en nombre. Le temps qu'ils arrivent, j'élaborrais un plan dont je ferrais part a Jessy une fois ses hommes arrivés.

Comme se sera surement lui qui les commandera, autant qu'il soit au courant avant les autres de mon plan.

Nous étions revenus au campement pour attendre l arivé des renforts. Nous nous assîtes et commencèrent a rréfléchir a un plan. J étais extrement concentré sur le sujet quand je fus dérangé par une fine odeur détecter grace a l air. Elle sentait bonne. Merguez ? Poulet roti ? Plus Merguez. Masao remarqua, ce qui ne fut pas dfficile, que je n étais pas concentré. On pouvait pas dire que quand quelqu un hume l air qu il soit concentré. Il me poussa légerment.
-Excuse-moi. J ai senti une odeur de merguez et ça m a distrait
-Ce n est pas si grave mais je te voyais humer l air alors ...
Nous nous remîtes a travailler ou plutôt a réfléchir pendant plusieurs minutes. Masao était sur une voix pour le plan lors que moi j avais la tête dans les nuages. Alors je décidai de méditer. Moyen très pratique pour se concentrer mais aussi pour libérer son esprit au joies qu apporte l air

Je commençai a faire l air tournoyer autour de moi puis j agrandi son périmètre et le fit tourner autour de Masao et moi. Cela permettais tout en ce concentrant de relaché un peu de pression. Nous étions a plusieurs kilomètres des bandits et la nuit tombait. Les brigands étaient en train de lever un camp. Bientôt, je pus sentir l odeur du feu de camp qu ils avaient allumer grâce a l un de leur soldat.J attendis encore un en me concentrant de plus en plus sur leur camp jusqu a ce qu il n y ait plus le moindre mouvement, aussi minime soit-il. Je me levai:
-Je vais m entraîner
Il répondit d un petit grognement affirmatif. Je sortis de la tente et me diriger vers les arbres aux alentours. Je vis un pommier et des pommes qui me firent penser que j avais unpetit creux et qu on avait rien a mangé dans la tente. Alors je partis a la chasse. Je sautai sur un arbre et me concentrer sur 1OO mètres a la ronde. Et je vis deux sangliers. Ce serait un bon festin.

Ils étaient a un peu plus de 50 mètres de moi. Mais j arrivai en un rien de temps a les rattraper. Je m arrétai au dessus d eux. Ils s arrétèrent et commencèrent a humer l air. Ils avaient peut être repérer mon odeur. Un des sangliers se mit a grogner et a attaqué l arbre ou jétais perché pendant que l autre restait en arrière pour attendre ma descente. Alors, je pris la branche ou j étais comme appui et fonçai sur le sanglier défonceur d arbre et lui asséna un coup de poing sur le haut du crâne. Il tomba red. Le deuxième fonça sur moi. Je mis mes deux mains devant moi puis expulsa de lair brievement ce qui eut l effet de faire une onde de choc d air et envoya le sanglier sur un arbre un peu plus loin. Il se releva et se mit sur ses pattes et refonça. Je fis un salto avant pour l éviter en l air et en l air, j attrapai ses défenses et le lançai sur le même arbre qui finit par craquer sur le deuxième choc.

Je ramenai les deux sangliers au campement avec beaucoup de mal car les sangliers, comme vous le savez, étaient très lourds. Je les déposai devant la tente et Masao sortit et vit les deux sangliers là. Puis il me dit en rentrant:
-J ai trouvé un plan !
-Cool ! Explique
Il m expliqua son plan qui me semblait parfait. Puis je dus repartir m entraîner et pour mon entrainement je décidai de travailler sur le désarmement a distance. N ayant pas d ennemi devant moi, je demandai a Masao si il voulait bien m aider pour mon entraînement. Il accepta et après avoir fait griller un des sangliers, il mes rejoint. Je lui expliquai sur quoi pourtait mon entrainement et il alla prendre son sabre e se posa devant moi, tenant fermement son arme. Je mis ma main devant moi et envoyé une ODCA(onde de choc d air) sur sa main. Sa main alla vers l arrière mais l épée était toujours dans sa main. Je réessayai au moins encore une dizaine voir une quinzaine de fois avant de réussir a une main. Puis laissant Masao reposer son poignet, nous recommençâmes. Après avoir réussi du premier coup cette fois-ci, je passai a deux doigts.

Cela me prit en tout une heure et demi. Puis je demandai a Masao si il voulait s entraîner, il me répondit affirmativement. Il prit son épée semblable a celle de sokka et commença a l utiliser de façons spectaculaires. Après que j ai évitai plusieurs coup d épée du feu jaillit de l épée, étant surpris je ne put mettre qu une fine, mais vraiment très fine couche dair qui me protégea de la brûlure puis il arréta le feu juste devant moi le faisant disparraître. Après un moment nous rentrâmes dans la tente et mangâmes. Nous devrons partir a l aube. Puis dehores se fit entendre des bruits. Me levant en précipitement je me mis en garde. Mais en sortant je vis que ce n était que les renforts.

Je leur expliquai le plan de Masao. Il y avait la un bon nombre de fils du feu. En tout nous étons 15. Enfin pour l instant car peu de temps après, mes subordonnés arrivèrent et je leur expliquai la missio a eu aussi. Nous dormîmes et le matin a l aube, nous partîmes. Les brigands ne s étaient pas encore levé et parcourant la distances a moyennes vitesse et sans bruit. Nous arrivèrent a être a un peu plus de 700 mètres d eux quand ils se réveillèrent. Ils ne se doutaient de rien pour l instant et quand ils finirent de ranger leur campement nous fûmes a 600 mètres a peu près. Nous étions en train de les suivre. On ne pouvait attaquer maintenant.

***************************************************************************************************
Masao je te laisse le soin de raconter le plan ^^. Et surtout excuse moi pour le retard

[HRPG: Pas de probleme pour le retard ^^]

Nous étions assis, Jessy sur une souche, et moi par terre. Je relfechissais au plan qu'il fallait que je mette en place. Jessy semblait plutot la tete dans les nuages mais je ne me laissa pas plus distraire. Je me massais les tempes a mesure que mon plan se paufinait. Une manie que je n'arrivais pas a perdre. D'apres les psychologies des brigants que nous avons rencontrés, ils semblaient plutot "je fonce d'abbord et je regarde apres". Un serieux avantage que j'allais me servir. D'apres nos observations, les bandits étaient organisés selon un principe simple et efficace pour déplacer un petit groupe d'homme. Une avant garde, rapide qui, dès qu'un probleme se présentait, avertissait les autres. Jessy parrut surpris a un moment. Il m'avertit qu'il partit s'entrainer et j'en profita pour me glisser en direction de l'avant poste des bandits. Chacun de mes pas, lourds sur le sol humide, me rapprochait d'un danger que je ne pouvais pas éviter. Cependant, il me fallait des informations supplémentaires. Quand j'arriva au niveau d'un buisson je me fourra derriere. Je scrutta discretement pour m'assurer que personne n'était dans les horizons. Puis je continua a avancer dans la plaine pour arriver vers le début des montagnes. Mais au lieu de continuer pour tomber sur le camp, des paroles se firent entendre. Pres. Plus pres que prévu. Je courrut ma cacher derrier un surplomb rocheux et j'appercu alors que l'avant poste s'était avancé dans notre direction.

Bon sang. Tant qu'ils étaient dans les montagnes ils ne pouvaient pas nous voir. Mais si ils progressent de trop et qu'ils nous surprennent, on courre droit au massacre.

Je retourna a la hate au camp. Cela ne présageait rien de bon. Il fallait attaquer le plus vite possible mais sans les troupes, surtout celles des maitres de l'air avec leur bisons qui comptaient pour une grande partie dans mon plan, c'était voué a l'échec. J'arriva un peu avant Jessy qui portait deux sangliers. Pendant leur cuisson, je m'adressa a lui:

-J'ai trouvé un plan.

Il semblait content car il me demanda de le lui expliquer ce que je fis.

-Bien, pour l'instant, mon plan se base sur mes observations et surtout sur l'appui de tes troupes Jessy. Je pense que tes hommes viendront en bisons volant et il le faut. D'apres ce que tu m'as dit, des fils du feu devrait venir aussi. Tout d'abbord, nous partirons a l'aube pour bénificier de l'obscurité afin de nous cacher. Nous avancerons jusqu'à une distance de 600mètres environ mais pas plus pres. Puis, tu enverra avec ton sifflet, un signal au bison situé auparavant sur les hauteurs. Avec leur maitrise et l'aide de la force des bisons. Ils devront faire tomber des rochers afin de boucher le passage qui relie l'avant poste au reste du camps. Normalement, les bandits seront prit au depourvu et appelleront leurs alliés avec leur cor. A ce moment, sachant qu'il ne sont que cinq pour l'avant garde, nous enflammeront, avec les fils du feu, un cerles pour les empecher de fuir. Puis, il ne restera plus qu'au maitre de l'air de les bombarder afin de les tuer. Si il n'y a pas de hic, ils seront morts, presque sans aucuns affrontements.

Pendant que le lui racontait mon plan, il assimillait tout ce que je lui disais. Si il commandait ses troupes, il serait primordial qu'il coordonne bien ses actions. Je continua:

-Bien, comme je te le disais, les autres du camps seront prévenu. J'estime a peu pres la distance entre l'avant grade et le reste des hommes a environ un ou deux kilometres, soit la portée de leur cor. D'içi a ce qu'il se déplace, les bisons volants devront transporter huit hommes du feu derrieres les lignes ennemies. Veille bien a ce qu'il ne se fasse pas voir en volant au plus haut et en se cachant avec les nuages. Comme les bandits se déplaceront dans notre direction, et qu'ils ne penseront pas recevoir d'attaque par l'arriere, les hommes que nous enverrons devraient les prendre a revers. Ils arriveront donc a l'éboulement et leur maitres de la terre déblayeront le chemin. Le temps qu'ils arrivent, nous disposeront de l'huile et des brindilles sur le sol. Nous nous cacherons un peu plus loin et j'enflammerais au bon moment le sol quand ils débouleront du passage. Bien entendu, cela ne les tuera pas tous mais cela reduirera de moitié, je pense, leur nombre. Enfin, pour limiter nos pertes et apres l'incendie, les hommes déposé derrieres les prendront a revers. Je compte ainsi diviser leur force et les prendre a revers. Comme ils seront situé dans une "bouche" de la montage, ils seront vulérables. Si tu veux, au lieu d'etre massé et compact dans une plaine, ils seront obligés de traverser le passage étroit cinq par cinq. Leur nombre réduits, couplé a notre prise en tenaille devraient avoir raison d'eux. Si tu veux, tu peux poster un ou deux maitre de l'air pour éffondrer les parois friables du passage. Nos troupes seront elles, aux extremités et devront contenir les bandits pour qu'ils ne quittent pas le passage et qu'il finissent par tous mourrir.

Je dessinais en meme temps que je parlais pour simplifier le plan. Je repris haleine et le plan, bien que long, semblait plaire a Jessy. Il l'avait compris et c'était l'éssentiel.
Nous nous entrenames un peu avant de recevoir l'appui des troupes et de nous coucher.

Demain, c'est le grand jour....

Cela me stimulait de savoir si mon plan allait marcher. C'était encore une facon de tester l'intelligence humaine...

[HRPG je te laisse décrire le combat. Si tu as des questions sur le plan mp moi ^^]

On les surveillait toujours. On restait immobile pour le moment. Ils s approchaient de plus en plus. Quand je décidai qu ils étaient assez prêts, je mis mon sifflet a ma boucheets ouffla très fort. Mais le son était si aiguë que personne ne l entendit. C était un sifflet fait exprès pour les bisons. Pour l instant les bisons ne portaient personnes. Ils lachèrent une dizaine de pierres voir plus ce qui créa un mur séparant l avant poste du reste du camps. Pendant ce temps nous nous approchâmes de l avant post et les maîtres du feu les entourèrent d un mur de feu. Ils étaient cinq. L un de eux, comme avait prévu Masao avait un cor et sonna avec. A peine le son fut terminé que nous attaquâmes et les tuâmes un par un un. Ce fut de la total destruction avec les maître du feu qui les bombardaient de feu et les maître de l air qui les envoyaient des lames d air et des airball.

Une fois que le massacre fut finit, les bisons qui étaient déja descendus prirent les huits maîtres du feu et huit maîtres de l air pour les nuages. Ils montèrent si vite que bientôt ils furent la hauteur des nuages puis les maitres de l air manipulant les nuages, fit un énorme écran de nuge qui les couvrait a la vue d en bas.Pendant ce temps nous déposèrent un peu plus bas l huile et les brindilles. Peu de temps après les maîtres de la terre déblayèrent le passage. Et remarquant les restes des corps de l avant post, ils avancèrent prudement. Mais nous étions bien caché et ils ne pouvaient nous voir. Puis quand un bon nombre fut sur l huile, a ce moment, Masao enflamma l huile créant de grande flammes. Les deux maîtres de l air que j avais déjà posté en haut de la montagne depuis hier soir, firent tomber de grand rocher qui bloquèrent le passage plusieurs mètres derrière les brigands pour laissai les maîtres du feu cachés dans les nuages un peu de place.

Les maîtres du feu sur les bisons attérirent et les prirent a revers comme dans le plan. Ceux qui étaient le plus devant allèrent vers le passage étoirt dont avait parlé Masao et y allèrent cinq par cinq. Mais nous, nous les attendions a l arrivé. Nous commançâmes a les tuer sans trop de difficulté, leur nombre étant réduit. Nous finirent par tous les tuer commee dans le plan de Masao et sans une seul perte. D après le pland de Masao, c était fini. Alors nous nous réunissâmes pour voir si derrière il n y avait pas eu trop de dégats de notre côté. Apperement non. Nous crièrent de joie de voir notre plan réussir. Mais un élément vint perturbé. Plusieurs hommes appertenant aux brigands volaient dans le ciel avec des baton volants. Ils commencèrent a lancer des rafales sur nous mais moi et les autres maîtres de l air annulèrent ou parfois annilèrent leur techniques. Puis rapidement, les maîtres de l air montèrent sur les bisons. Moi n ayant pas de bison décidai d appeler le miens. Je mis deux doigts dans ma bouche et sifflai. Presque aussitôt j entendis le grogement de mon bison qui attéris un moment après a mes côtés.

Je montai sur lui et m envolai. Une bataille aérienne commença. Les fils du feu ne pouvaient intervenir sous risque de toucher des alliées (nous ^^). Je passai au dessus d un ennemi et d une lame d air, brisa son baton. Il tomba en chute libre et utilisa un coussin d air pour ammortir sa chute. Mais une fois arriver en bas il reçu un accueuil chaleureux, et c est le moins qu on puisse dire, des fils du feu. Je brisai plusieurs d autres bâton réservant le même sort que celui du précédent a ceux que j avais détruit leur bâton. Finalement nous gagnèrent mais deux maîtres de l air de notre camp était tombé au combat. Nous redescendîmes auprès des fils du feu. Et après avoir respirer un peu, je dis :
-C est fini.

***************************************************************************************************
Je te laisse raconter la fin (si c est fini) ou le déroulement des évenements après (si ce n est pas fini)

Tout se passait comme prévu. Le plan se déroulait sans probleme ce qui m'arracha un sourire. Je me serait attendu a plus de la part de bandits comme eux.......meme si ils ne semblaient pas spéciallement doué pour la reflexion. Le seul petit bémol, que Jessy corrigea, fut une attaque aérienne de maitres de l'air sur planeur. Mis a part ce détail, la bataille fut terminée presque sans perte. Deux maitres de l'air de Jessy avait péri et trois de mes compatriotes aussi. Je ne m'attendais pas a autant de la part d'un plan aussi simple, bien que long. Quand Jessy regagna le sol, il declara:

-C'est fini.

Je me tourna pour voir l'étendue du combat. Les corps des bandits gisaient ça et là. La plupart brulés par l'incendie, d'autres écrasés par les roches et d'autres encore tranchés partout sur leur corps. Il semblait bien que tout cela était fini. Ma mission semblait terminée.
Je regarda Jessy:

-Oui, il semblerait bien....

Nous offrimes des funérailles aux soldats morts et nous dirigeames vers la ville, désormais sauvé. Nous y recumes un accueil chaleureux de la part de tous les habitants et Jessy me proposa de me reposer chez lui. Je refusa poliment, preferant rentrer le plus tot possible dans ma nation pour y faire mon rapport. Les soldats qui m'accompagnait sembaient eux aussi de cet avis.
Le jour du départ, un cortege s'était réuni pour nous souhaiter bon voyage. Jessy s'avanca vers nous.

-Merci a tous pour votre dévouement. Les soldats morts ne le seront pas en vain. Que leur sacrifice permette a notre village de prosperer.

Je marcha vers lui, lui serrant la main. Ne sachant comment réagir, je ne sus que marmonner

-C'est a moi de te remercier. Sans toi, je n'aurais pas pu mettre en déroute les bandits.

Nous enchangeames une accolade d'amitié. L'heure du départ arriva et il nous fut partir vers notre nation.
Arrivé au panneau devant lequel je m'étais arretté a ma premiere arrivée içi, je me rememorrais l'impression que j'avais des nomades. Désormais, je ne les verrais plus de la meme façon. J'adressa un dernier signe en direction du vilage, et detourna le regard, partant vers ma patrie.


FIN!

^^
Sympa la petite collaboration ;)
C'est bien écrit et régulier... Continuez comme ça!

Masao +180XP
Jessy +140XP

PS: la première personne du passé simple des verbes du 1er groupe se termine en -ai et non -a.
On ne dit pas j'enleva mon gilet, mais j'enlevai mon gilet. On ne dit pas j'alla au marché, on dit j'allai au marché ^^
PS2: Masao juste un truc de marrant: tu a écris inextrémiste lol
Ce mot n'existe pas. De plus, il pourrait te faire confondre avec extrémiste(personne d'opinion extrême)
Ce mot est tiré du latin et s'écrit "in extremis". [Le latin n'a jamais d'accent]. In extremis signifie de justesse, mais ça tu l'avais compris ^^