Avatar: Le Dernier Maitre de L'Air
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Forum et Fansite de la série Avatar: le dernier maitre de l'air et de The Legend of Korra
 
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[M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls]

Seth
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Seth

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MessageSujet: [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] EmptyVen 22 Mai 2009 - 19:28

[https://avatar.forumactif.fr/dojo-de-la-roche-f52/entrainement-de-seth-sakku-par-jerome-t9602.htm]

Sous ordre de mon Maître, je m'engageais à partir de la ville au plus vite. La mission était tenue au secret et je ne pouvais me permettre d'enquêter préalablement. Je me rendis alors chez mon hôte me préparer pour le voyage. Je retrouvais avec étrangeté l'usage de mes yeux ; ayant tant exercé ma pratique de la terre par ses vibrations, j'avais à présent une toute autre vision du monde. J'arrivais donc chez Zehno, qui, m’ayant vu arrivé de loin, me fit signe de rejoindre l’arrière salle. Puis après lui avoir expliqué que je devais m'affranchir d'une mission et éludé certaines de ses questions, je lui demandais d'excuser mon absence future. Il me donna son assentiment, compréhensif, et me recommanda de monter dans ma chambre afin d’y préparer mon voyage.

Je m’exécutais donc à préparer mon strict minimum de survie ; je pris quelques magnétites, un gros rouleau de parchemin vierge, une ancienne carte de la nation du feu, mon carnet de note – crypté – ainsi que de gros sachets de graines éparses, tous cela soigneusement entassé dans ma bandoulière. Après avoir vérifié mes armes et mon nécessaire habituel, je redescendis.

Le vieil homme m’attendait devant la table du salon et je pris place devant lui, assis dans les coutumes. Je le regardais et lui dit que mes affaires étaient fin prêtes ; il sortis alors de sa poche une grosse sacoche de poussière argentée et sombre, un gros bloc de basalte ainsi qu’un gros bocal d'insectes séchés aux épices dont raffolait Nec. J’en déduis qu’il devait certainement les penser nécessaires à mon périple, ou du moins, au développement de ma maîtrise. Il m’offrit sa bénédiction et nous sortîmes tous deux de l’arrière salle : je le serrais alors dans mes bras en symbole de remerciements et d’affection, et le laissa au comptoir.

Je longeais les grandes allées de la ville agitée et me dirigeais vers le port. Une fois sur la passerelle, je m’arrêtait contempler le nuages ; je ne pouvais m’empêcher d’y voir, d’une manière certaine, le calme d’avant la tempête – une tempête dangereusement assassine qui plus est. Mais quelqu’un m’avait déjà extirpé de cette pensée ; je me retournais vers l’écho d’une voix juvénile. Je reconnaissais les vibrations du corps émettant les ayant pressenties préalablement lors de mon entraînement au Dojo. Mon interlocuteur était petit et jeune – probablement dix ans – et l'aura que dégageait son visage anémié laissait suggérer qu'il n'avait pas beaucoup dormis.

Une fois arrivé devant moi, il me saluât puis s'enquit ;


« Bien le bonjour disciple Sakku et désolé de vous importuner mais je viens vous demander service. Mes parents sont malades et leur mal est particulier, ils souffrent de la fièvre aubépine. Le seul remède connu à ce jour est une plante qui ne pousse que dans le désert adjacent à la nation du feu, dans des plaines mouvantes. Il s'agit d'une variété très rare, et qui ne pousse que là-bas. Je ne pouvais le demander à votre Maître dû aux occupations de son rang... Mais je vous ai observé lors de votre entraînement et je pense sincèrement que vous pourriez me la ramener… »

Je fus quelque peu surpris par la maturité d'un être si jeune et si sensible ; il était rare, même au royaume de la Terre, de voir des enfants aussi mûrs et ce jeune garçon démontrait par sa personne un bon nombre de qualités propres à notre Royaume dont le pragmatisme et la maîtrise de soi.

« Jeune homme, sache que tu auras cette plante miraculeuse qui pousse dans les plaines mouvantes. Ta cause est noble et tu contribues à la fierté de notre royaume. Puis-je néanmoins te demander à quoi ressemble cette fleure si rare?

- Mais certainement disciple Sakku, cette plante présente des clochettes rouge sang accrochées à une tige longue et blanche mais dont le pied est noir.

- Puis-je connaître ton nom?

- Bien sûr, je me nomme Neitro de la maison des Eito. J'habite non loin de la grande herboristerie, près de l' « Hommage aux Sycomores ».

- Très bien, je te ramènerai cette plante au retour de ma mission. Je ne tarderai pas ne t'inquiète pas. Je sais que tu sauras prendre soin de tes parents. Tu comprends bien que je dois maintenant partir, sans quoi je reviendrai trop tard.

- Oui, je comprends, merci beaucoup. »

Je voyais de l'espoir en ses yeux vert et je ressentais un sentiment étrange pour ce petit être. Peut-être était-ce du à son attachement à ses parents... Je le regardais partir, commencer à courir au milieu de l'allée principale, je lui lançais alors : « Hé! Neitro! Appelle moi Seth. ». Je repris aussitôt mon chemin et vis l’embarquement sur lequel j’allais devoir passer quelques jours. Je me réjouissais d’avoir à mon service un aussi grand navire ; j’allais pouvoir m’y entraîner sans problème et y échafauder quelques stratégies vitales au bon accomplissement de ma mission.

Je déclinais mon identité puis saluais mes interlocuteur ; pénétrant et assumant à présent la première phase de ma mission. On me fit visiter tout le navire avant de « lever l’ancre ». Tout y était pratique et hectique ; je me demandais d’ailleurs pourquoi mon Maître avait décidé de me faire prendre en charge par un navire militaire au complet. Un simple petit bateau aurait suffit d’après moi. Je ne m’en plaignais pas néanmoins car j’avais le droit à une chambre individuel et accès à toute pièce du navire, excepté bien sûr la salle de conférence. La visite finie et le navire en marche, je me recueillis dans ma chambre. J’étalais sur mon bureau les diverses pierres que je possédais.

Au Royaume de la Terre, j’étais considérablement avantagé par l’activité magnétique très dense des plaques telluriques. Mais hors du Royaume, mes capacités seraient amoindries, et je ne pouvais prendre le risque d’amenuiser la force de ma Maîtrise en cas de besoin hypothétique. Mais je savais comment y remédier. Je pris dans la paume de mes mains une petite magnétite que je transformais en bague ; son influence magnétique amplifierait donc ma Maîtrise dans le cas de sin possible besoin. Je m’attardais ensuite sur le contenu de la grosse sacoche ; à quoi cela pouvait-il bien servir ? Il y avait de la poussière de métal, je pouvais le sentir, de la poudre de basalte aussi, mais il y avait autre chose ; quelque chose d’inconnu pour moi, bien que de nature terreuse.

Je réalisais alors le message de cette mystérieuse sacoche ; je devais exercer ma Maîtrise de la Terre à un niveau plus subtil si je désirais être capable de mener à bien une mission. Mais les éléments de la sacoche étaient trop divers et difficiles à manipuler pour le moment ; le control des poussières métalliques par exemple exigeait de moi une grande prouesse technique. Je décidais donc de m’entraîner à maîtriser le sable. Mais avant, je devais m’échauffer : la salle d’entraînement me paraissait tout à fait de circonstance ; de la Terre et des soldats. Je sortis donc de mon enclos, laissant se reposer Nec sur le lit, en direction de l’étage inférieur.
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MessageSujet: Re: [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] EmptyVen 22 Mai 2009 - 19:39

Une fois arrivé, je fis le tour de la salle et demandais à quelques hommes de m’affronter en combat amical. Je me tenais donc au milieu d’un cercles d’une douzaine de guerriers, attendant l’attaque de mes assaillants : fort heureusement pour moi, d’épaisse parois de métal enveloppaient la pièce. Alors que je sentis trois attaques différentes fuser vers moi à neuf, onze et une heure, mon masque de Terre se matérialisa sur mon visage. Piques terreux à une et onze heures, tentative d’hameçonner quand à monsieur neuf. Je mu alors chacun de mes bras en arcade élevée, en un mélange de raideur et d’harmonie, en direction des piques et, alors que je marquais chacun de mes gestes par une impulsion plantaire robuste, les piques rocheux s’éclatèrent contre les parois érigeantes. Puis, telle une suite à cette étrange valse, je sautais pieds joints pour repousser les mains de pierre qui émergeaient du sol.

Des piques rocheux, astucieux, mais je pouvais faire mieux. Je renvoyais alors vers mes adversaires des lames de terres énormes, parcourant le sol d’une grande vitesse : chaque lame tranchante était dirigée par le geste ample et ferme de mes bras, virgulant inhabituellement l’espace de ses mains pour contrôler l’influx de mon Chi. Le soldat de sept heures allait en profiter pour m’attaquer, projetant une grosse masse rocheuse vers moi ; impulsion plantaire, coup de pied. Dans un élan de défense, je recueillit plus de Chi encore dans mes bras et, pensant à tout ce qui faisait la robustesse de mon élément, je fouetta l’espace de mes mains vives et brusques ; la lame de roche, rapide, vive, plus grande encore que les précédentes, décapita la roche en deux parts égales.

Alors que le soldat sept s’efforçait de contrer mon attaque, je décidais de lancer l’assaut sur les côtés de mon horloge ; j’élevais de chaque côté des parois de roche épaisses par l’action de levée de mes bras joints puis je frappait sur chaque mur, insufflant au mouvement mon Chi, générant des centaines de kunaïs extrudés des murs. Certains les esquivèrent mais les numéros six, trois et cinq furent heurtés de pleins fouets. Cette technique avait l’avantage de semer la confusion dans les combats à adversaires multiples… les cents kunaïs ; ça me faisait l’effet d’une nuée de mouches acérées et fusantes, on aurait presque pu voir les traînées d’air coupé provoquées par la vivacité des pieux.

L’échauffement avait bien commencé mais je pressentais une attaque de groupe combinée d’ici peu. Mes parois s’affaissèrent, et tous les soldats sautèrent pieds joints, propulsant une immense vague de Terre vers moi. Les choses devenaient beaucoup plus sérieuse alors, et beaucoup plus dangereuses aussi. Il me fallait à tout pris stopper, ou du moins compenser la vibration émettrice de vague terreuse, sans quoi je devais déclarer forfait avant de me faire assommé. Je respirais un bon coup, profondément, et, refluant mon Chi dans tous mes membres je tournais sur moi-même en un tour vif et digne de la piquée d’un vautour. Mes gestes amples mais robustes impulsaient violemment la Terre, tel le mouvement méditatif du dragon. La Terre se plia sous mes ordres ; d’énormes pétales de roses rocheuses s’étendaient autour de moi, affûtées dans le mouvement de mes gestes : les Pétales Rocheux avait dévié la vague terreuse vers leurs destinataires. Cette dernière s’amenuisa néanmoins à leurs pieds, et personne ne fût touché.

Satisfait de ma déviation, je m’accroupis vivement et, solidement enraciné dans le sol, j’impulsais le Chi de mes paumes dans le sol, dans les pétales également ; je voulais une attaque de grande portée et les pétales me servaient de relais. Mon Chi s’insinua dans les pétales qui du même coup s’enfoncèrent dans le sol pour réapparaître en vague tranchante de geyser terreux vers les soldats du midi. Tout de suite après, alors que ceux–ci essayaient d’éviter mon attaque de Geyser Terreux, j’esquivait la tête en bas, marchant sur les mains, les divers projectiles que l’on me lançait de tous les côtés. Je retournais sur mes pieds, extrudant du sol une poutre de roche. Quatre soldats se ruaient alors sur moi, soutenu par de minces talus de Terre et une plateforme en suspension se créa alors.

Insufflé d’une adrénaline terrible je mis mes mains au sol et me fis des gants de terre. J’y insufflais mon Chi et frappait stratégiquement, expulsant un des soldats contre une paroi. Je pris ensuite des aiguilles de métal que je coinçais entre mes phalanges. J’étais habitué à leur énergie, je les connaissais et arrivais de fait à assez bien les manipuler. J’esquivais les coups tel un danseur habile, esquivant et attaquant de la même enjambée aérienne, les doigts repliés sur mes paumes connexes à la fine plaque rocheuse suspendue dans le vide. Je profitais de l’étourdissement d’un des soldats pour lui bloquer ses cavités de Chi, vacillant habilement autour de lui tout en lui enfonçant mes aiguilles de métal. Neutralisation Acuponcturale.

Je sentais en bas des groupes se former et…entraves de pierre ; des soldats avaient essayé de m’atteindre en courant sur les murs et m’envoyant des piques de pierre. Je réussi à saisir deux d’entre eux par mes enclaves, les mains de pierre ne les neutralisant qu’un court instant. Je fis un sautais dans les airs, m’appuyant sur les piques pour me diriger vers les murs. Trois soldats m’entouraient de mes flancs et j’essayais d’éviter au mieux les coups assénés. J’évitais de justesse une entrave rocheuse et profitais de ce moment d’esquive pour me laisser glisser en arrière. Les soldats eurent tout juste le temps de se retourner, et moi de me lever que j’extrudais vivement et provisoirement du plafond une quille de roche qui les projeta au sol.

Aussitôt les soldats m’envoyèrent des piques et des blocs de roches que j’utilisais pour amortir la chute, marchant de piques en blocs jusqu’au salto final. Alors que j’atterrissais pieds joints et que les soldats s’apprêtaient à taper du pied en préparation à une attaque, je rendis instantanément la roche du sol mouvante, tout autour de moi, les soldats s’enlisant dans leur perte générale d’équilibre. Leurs têtes étaient toutes justes hors de Terre quand je redonnais à mon élément toute sa robustesse habituelle et je les fis aussitôt assommer en faisant pleuvoir sur leur tête de gros morceaux de roches. Le combat était finit et moi, j’avais fin.

J’allais donc me rassasier auprès des cuisines et y croisais un Stratège de notre nation qui m’invita par ailleurs à prendre part à une partie de Wu Shogi ; ce que j’acceptais avec grand enthousiasme. Une fois que j’eus fini de manger, je me dirigeais vers l’appartement du jeune Stratège. Tout y était plus harmonieux, même si on ne pouvait pas couper à l’apparence toujours spartiate de la chambre, commune à tant d’autres par ailleurs. Il s’avéra qu’en jouant, Paï Cho me recommanda de faire preuve de plus de ruse dans ma partie, en concluant par une phrase qui se révéla m’être d’une utilité vitale par la suite :
« Si tu n’as pas un coup d’avance, fait donc croire que tu en as un ». Je repensais alors à cela, tout en finissant notre partie par un status quo. Comment gagner la confiance de la Nation du Feu sans avoir d’arguments choc ?

Mais tout bien réfléchi et rentrant dans mon enclos d’ascèse, je me dis qu’il m’était peut-être possible de feindre la Maîtrise du Feu. Il fallait quoi en réalité ? Il me fallait juste quelque chose qui s’enflamme assez durablement et qui puisse flotter par dessus ma main. Mais ce que j’imaginais là était bien plus difficile que tout ce que j’avais bien pu imaginer en terme de technique et de connaissance. Faire flotter, je le pouvais, il me restait juste à trouver un subterfuge pour simuler la flamme. Peut-être le basalte ferait-il l’affaire. Après tout, le basalte est un des rares matériaux hybrides du Feu et de la Terre. Il me suffisait uniquement d’en augmenter la température et de roche il rajeunirait à magma. Mais je me demandais encore comment entretenir le feu et le faire épouser et imiter la forme des autres maîtres, peut-être que la poudre y serait efficace.

Il m’était, de toute façon, primordial d’expérimenter. Je pris une petite magnétite que je transformais en petite sphère et pris ensuite le gros bloc de basalte que Zehno m’avait offert ; je le découpais alors mentalement en de multiples cubes. Mais avant d’assembler quoi que ce soit, il me fallait déjà réussir à faire flotter la magnétite sphérique. Je la mis dans la paume de ma main droite et me concentra intensément, le visage le plus impassible possible. J’arrivais à la faire flotter au bout d’un certain temps mais j’avais conscience que ce n’était pas assez haut et que je devais pratiquer encore avant de maîtriser encore cette technique de flottaison magnétique. Je n’avais que cinq jours pour cela, ça et plus encore. Heureusement pour moi, la fonte du basalte en magma s’avérait beaucoup plus fructueuse ; j’arrivais même à maintenir la forme du magma.

Le lendemain, je me réveillais assez tôt et débutais avant même de manger, ma pratique magnétique ; j’arrivais à réduire le temps de préparation mais la magnétite flottait à peine plus haut. L’entraînement allait s’avérer difficile aujourd’hui, en plus de la technique de flottaison magnétique, il me fallait parvenir à maîtriser cette mystérieuse poudre afin d’en tirer le plus que je pouvais. Je m’attelais donc de mes affaires usuelles et me pressais vers la salle commune. Une fois arrivé, je me rendis compte que seuls l’équipage haut gradé était levé : aucun soldat à l’horizon. Je m’empressais d’avaler mon premier repas de la journée et me dirigeais dans la salle d’entraînement ; d’après ce que l’on m’avait dit, je devais disposer d’un peu plus de deux heures à moi seul avant que des soldats ne viennent s’entraîner.

Je m’échauffais d’abord puis déversais ma jarre de sable sur le sol et m’exerçais à des exercices basiques pour commencer. Je faisais se mouvoir devant moi le sable d’haut en bas. Lorsque je finis l’exercice, le sable ne formait plus que deux grosses lignes de sables parallèles. Les mouvements de glissade étaient maîtrisés mais il fallait maintenant essayer de faire voltiger ce sable. Je m’exerçais alors à des mouvements presque circulaires et je les faisais se mouvoir en petit cercle sentant mon Chi influer à distance et dans une fluctuation nauséeuse. Bientôt, j’arrivais à produire un petit siphon de sable. Et avec un peu de temps de prolongation, j’arrivais à me défaire de la sensation de nausée qui m’habitait. Je sortis alors mon carnet de mon sac et nota, comme à l’accoutumer, les diverses remarques que je pouvais faire sur ma maîtrise.

Une fois que j’eu terminé mon entraînement à la maîtrise du sable, je m’exerçais à de nouvelles techniques. La plus charmante fut sans conteste l’Aïa Paec, je produisais une enclave rocheuses qui immobiliseraient en temps réel l’ennemi puis sortais du sol huit grosses pâtes robustes d’araignée rocheuse se refermant entre elles sur l’adversaire fictif. Mais il fallait encore que j’essaye cette technique en combat réel. Après de nombreux exercices de gymnastiques, je me permis d’aller faire une escale sur le pont avant du navire. L’air me fis le plus grand bien et j’observais d’étranges zones d’ombres sur la surface de l’eau, Nec poussa d’ailleurs un étrange cris d’appréhension.

Le restant du séjour aquatique se déroula en entraînement technique, conseil stratégique et érudition sur les éléments si bien que la veille de l’arrivée, j’avais rendu parfaite l’illusion de ma maîtrise du feu. J’avais soigneusement entouré de basalte quelques sphères de magnétites – que j’arrivais maintenant à maîtriser plus que suffisamment. Ma technique était complexe, et il est vrai que j’éprouvais encore de certains maux de têtes tellement la concentration devait être grande et sectaire. Je devais d’une part faire flotter la magnétite, d’autre part augmenter la température du basalte jusqu’au magma puis je devais dans un effort de concentration extrême et impassible faire flotter autour de cette sphère rougeoyante une grosse quantité de cette poudre noire offerte par Zehno m’avait confié.

Je passais donc mon dernier jour dans un certain apaisement, même si j’avais toujours conscience de la dangerosité de ma mission. On m’offrit avant mon départ une tunique traditionnelle de la Nation que je revêtis aussitôt. Je fis des réserves de nourritures, rien de typique au Royaume de la Terre, pour ne rien trahir. Puis, lorsque le navire se stoppa, on m’offrit une barque pour rejoindre le rivage ; je passais quelques heures à ramer manuellement vers le rivage. Il faisait nuit de sorte que je n’eu pas de difficulté particulière à m’introduire sur le territoire. Je m’enquis alors d’une taverne, je savais que je pourrais y avoir quelques informations utiles.
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MessageSujet: Re: [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] EmptyVen 22 Mai 2009 - 22:27

Je m'entraînait avec une amie à une des nobles maîtrises, le feu.
Jusqu'au moment où je fus interrompue par une voix féminine, je me tourna et apperceva ma mère. . .


Je me leva en sursaut, ce n'était qu'un rêve, elle me manque tellement. . .
Je frotta mon frond avec ma main droite et je me leva, alla à la salle de bain pour me rafraîchir.
Je me regardais dans le miroir, j'avais une très drôle de tête, soit, je me faisait toute belle car aujourd'hui je verrai le seigneur du feu Magma car il voulait me voir en personne.
J'était toute excitée de voir le seigneur de feu face à face, sans compter mes entraînements.

Je sortit de la salle de bain et alla faire mon lit.
Lorsque j'avais finit, j'accrocha mon petit poignard autour de ma taille.
J'était prête pour mon entraînement et mon entretient avec Magma.
Je descendis les deux étages qui séparait ma chambre du salon.
Ma maison, c'est le palais, mais pas dans les quartiers royaux.
Normal, si on a un père haut gradé.
Je m'approche de lui en lui faisant la bise en guise de bonjour et pris un petit pain pour manger sur la route.

Père de Happy : Alors, comment va tu aujour. . .

H-G : désolé père, je n'ai pas le temps de vous parler, je vais être un retard.

Je me prommena dans les couloirs du palais en direction da la sortie tout en étant plongée dans mes pensées.
J'en ai un peu marre de vouvoyer (bon ortho? XD) mon père, il me montre beaucoup d'affection depuis la mort de ma mère, mais j'ai horreur de vouvoyer les gens de ma famille.En fait, je n'allait pas être en retard mais je n'avais pas trop envie de parler à mon père
Je fus retirée de mes pensées par un énorme rayon de soleil dans la figure.
Le temps était très ensoleillé avec une bonne température.
La salle d'entraînement n'était pas loin, vu que j'habitais une petit partie du palais.
Il suffit que je passe par le jardin de rocailles et j'y suis déjà.
Je m'approcha du bâtiment et entra dans celui-ci, je vis le seigneur de feu Magma au bout de la salle observant un sabre accroché au mur.
Je m'approcha de lui et me mis à genoux.

H-G : Bonjour seigneur.

Magma : Bonjour Happy, comment vas-tu aujourd'hui?

H-G : Heu. . . Très bien et vous?

Magma : Pareillement.

Le seigneur changea de conversation.

Magma : Si je te fais venir ici assez tôt c'est que ton entraînement est presque terminé.
Et pour voir si tu as très bien suivit tes lecons, tu va effectuer une mission, qui sera d'une grande importance.


H-G : Merci

Magma : Tu sera accompagnée de 10 bon soldats, tu recevra aussi une carte et des instructions que je te remettrai plus tard. Mais avant tout, je voudrait de faire passer un petit test, autrement dit un combat
Je te sens capable de combattre ton père, pas le vaincre, mais lui résister longtemps.



(atten pas terminé)
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MessageSujet: Re: [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] EmptySam 23 Mai 2009 - 18:52

J'était honorée que le seigneur du feu m'accorde sa confiance.
Aussi, il était mon maître, et m'a aidé à perfectionner ma maîtrise.
Mais je n'avais aucune envie de combattre mon père. Surtout qu'il ne m'a jamais vu exercer ma maîtrise.
Mais bon, je ne pouvais pas refuser.
Juste à ce moment, mon père venait de rentrer dans la pièce.

Magma : Bon, je t'ai déjà appris à te battre Happy, donc je vais me mettre à l'écart pour vous observer. Tu as aussi le droit d'utiliser ton poignard, mais je rapelle que c'est quand même un entraînement.

Je hocha la tête et je me mis en face de mon adversaire.
Mon père s'approcha et s'inclina, je fis de même.
Nous nous mîmes en position de combat en attendant le signe du seigneur.
Magma leva la main mais ne l'abaissait pas tout de suite de sorte à laisser du suspense.
Je me concentra un bref moment, Magma baissa sa main droite avec rapidité.
Le départ était donné.

Je donna la première attaque, ja savais que mon père était assez puissant, mais quand même moin que le seignuer du feu.
IL l'esquivit avec aucun problème ce qui était normal, mais m'en renvoya une plus puissante qui frôlait le sol.
J'avais déjà vu mon père à l'attaque, alors je connaissait un peu ses techniques, y comprit celle qui venait de m'envoyer.
Je para son attaque avec un petit mur de flammes légèrement bleues.
Ensuite, j'enchaîna les attaques sans difficulté, le combat était lancé.
Je remarquais que Magma ne me lachait pas des yeux, ce qui m'embarassait un peu.
Mais je l'ignora, et sortit mon poignard de ma ceinture rouge foncé.
Je m'approcha de mon père en esquivant ses attaques et lui lance un combat corps à corps.
Il accéléra ses attaques d'un seul coup en espérant de terminer la combat sur se prochaine attaque.
Mais il fut surpris au moment ou j'accéléra aussi, il fut aussi un peu distret par mes attaques car il ne m'avait jamais vue à l'oeuvre.
Je me demandais même si Magma suivait le combat, tellement les attaques était rapides.

Je m'éloigna de mon adversaire, le combat corps à corps commencait à m'épuiser énormément.
Je vis que mon père était légèrement affaiblit, avec toute son expérience derrière lui, c'est normal qui le soit moin que moi.
On s'arrêta un moment pour reprendre un peu de notre souffle, mais mon père ne ma laissa pas le temps de réccupérer complètement.
Une idée me traversa l'esprit, j'essayait absolument d'éloigner mon père pour pouvoir exécuter mon idée.
Ce n'était pas facile, je commencait vraiment à m'épuiser après plus de une heure de combat!
Mais j'y parvenit quand même, et me positionna pour lancer mon attaque.
Mon père s'arrêta pour osberver ce que j'allais faire.
J'étendis mes bras et commenca à les bouger dans tous les sens.

Le bout de mes doigts commencèrent à s'illuminer.
Mon père avait compris mon attaque mais il savait qu'elle ne serais pas puissante vu mon épuisement, mais il se mit quand même en position pour riposter.
Au bout d'un instant j'avais formé un bel éclair qui ne serait pas assez puissant comparer aux autres que je faisait auparavant
Mais je voulait montrer à mon père de quoi j'étais capable.
Je me concentra et jetta rapidement un coup d'oeil vers Magma.
Celui-ci ne laissa passer aucune expression sur son image.
Je lanca mon attaque avec un sourire et mon père le renvoya par une grande fenêtre?
Ca m'aurais étonné qu'il n'arriva pas à détourner mon attaque.

Il était prêt à m'en lancer une autre, mais fut interrompu par quelqun qui venait d'arriver dans le bâtiment.

Garde : Escusez moi, on vous demande. Il s'inclina sur le fait pour saluer mon père et le seignuer du feu.

Mon père : Désolé de ne pas terminer le combat.

Magma : Ce n'est pas grave.

IL partit sans laisser un mot ni même de poser un oeil sur moi.
Je m'agenouilla pour reprendre mon souffle tandis que j'entendais les pas de Magma se rapprocher de moi.

Magma : C'était bien, mais parlons de ta mission. Il s'assit au sol et il me regardait en attendant que je récupère.

Je m'assit en face de lui un peu éssoufflée et il commenca.

Tu devra aller dans les plaines mouvantes de notre nation. Là bas tu trouvera quelques maisons en ruines inhabitées bein sûr. Des documents important pour notre nation ont été abandonnés.
Je veux que tu les récupère avant que quelqun d'autre ne mette la main dessus.
Comme je l'avais dit, tu sera accompagnée de 10 bon soldat au cas où tu aurait des osbtacles en chemin.
Suis-je bien clair?


j'acquiésais d'un hochement de la tête.
Il m'expliqua aussi que mon départ était prévu pour ce soir, j'en aurait pour un mois si je rencontre pas de problèmes.
Tout était prêt pour mon départ, sauf mon sac.
Malgré les bonnes expliquations qui m'étaient données, je posa une question.

Aurais-je une monture?

Si tu y tient tellement alors oui, je te donnerai un lézard juste avant ton départ.

Il se leva avec souplesse et s'essuya les jambes.
Je me leva aussi et ajouta :

Merci pour cette mission, je suis désolée, mais je dois encore faire mon sac.

Va . . .

Je m'inclinait puis partis en courant.
J'était toute excitée par la nouvelle qui venait de m'être annoncée.
Je rentra dans le palais et monta les escalier avec épuisement.
J'ouvrit la porte et marcha en direction de ma chambre en trouvant un mot sur mon lit.

Ma fille, j'était déjà au courant pour ta mission, alors je t'offre se deuxième poignard qui te sera sûrement util durant ton voyage. Désolé de ne pas être là pour ton départ, mais comme tu a pu remarqué, j'ai été appelé d'urgence.
Je trouve que ta maîtrise du feu est parfaite, exceptée ton endurance, mais ca, ca s'exerce.

Ton père


Je fus légèrement émue par ces mots et pris mon sac qui se trouvait dans ma garde robe et l'installa sur mon lit.
Je le remplit de plusieurs vêtements et mis mon nouveau poignard avec.
Quand il fut remplit, je le posa au pied de mon lit et je sortit de mes appartemment à la recherche d'un garde qui faisait sa ronde.

Dites, voulez-vous bien me réveiller dans deux heures?

Le garde faisait une drôle de tête, il ne s'attendais pas à ca mais répondis :

Très bien, pas de problème, heu. . . bonne sieste.

Je ne répondis pas et courra en direction de mon lit, il falait absolument que je récupère avant mon départ.
Je dormais habillée pour ne pas perdre de temps.
Ca me faisait du bien de dormir après ce combat.

Comme d'habitude je rêvait, mais pas de ma mère cette fois-ci.
Je rêvait de ma mission. . .
Je sentais que j'étais secouée et me réveilla sur le fait.
C'était le garde de tout à l'heure.

Excusez-moi, mais je vous réveille comme vous me l'avez demandé. Le seigneur du feu vous attend dehors.

Il sortit en s'inclinant, il n'en avait nullement besoin, je ne suis pas de la famille royale, mais bon.
Je me leva et pris directement mon sac et passa devant un miroir pour osberver ma tête.
Mes cheveux étaient en bataille, je donna quelques coups de brosse.
Je quitta mes appartement sur un pas rapide et je couru dès que la porte était bien fermée.
J'espère qu'ils ne m'attendent pas depuis longtemps.

Je sortit du palais et m'agenouilla directement, le seignuer du feu se trouvait juste en face de moi.

Justement, j'allais te chercher, ca fait un petit moment que j'avais envoyé le garde et tu ne venait pas. tu peux te relever.

Je suis désolée pour mon retard

Le seigneur du feu partit un instant et revenait avec le lézard promis. Il était suivit de 1O gardes qui étaient déjà sur leur monture. Je montis sur la bête et Magma me tendis un sac.

Ce sac contient la carte, de l'argent et pleins d'autres choses, les gardes ont trois grands sac avec les provisions.

Je remerciait le seigneur du feu et pris les rênes du lézard. Magma faisait demi-tour et entra dans le palais accompagné de deux maîtres du feu. Je regardais les 10 soldats qui s'emblaient s'appatienter.

Bon et bien allons-y

Le lézard parit avec rapidité, suivit des autres. La route ne sera pas longue, enfin je l'espère.
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Seth
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Seth

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MessageSujet: Re: [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] [M#01] Illusion Basaltique [Happy Girls] EmptyMar 9 Juin 2009 - 19:28

Je me dirigeais donc vers ce lieu de perdition grouillant de bruits et de monde. L’intérieur était chaleureux, mais pas dans le sens forcément ou vous et moi nous l’entendons habituellement ; il faisait chaud, très chaud. Les vapeurs d’alcool fort et musqué dominant l’espace entier. A en juger par la nature des meubles aussi divers qu’étonnants je me rendis vite compte qu’il s’agissait d’une de ces nouvelles tavernes à la mode dont j’avais entendu parlé. Je m’avançais vers le coin le plus reculé et vide, ressentant les regards curieux d’une bonne partie de la clientèle nocturne. Je m’assis. Je fus soulagé de constater que le parterre ainsi qu’une bonne partie du bâtiment était constituée de Terre et de Métal et je m’attelais a observé suspicieusement les individus environnants. Certains dormaient, certains parlaient, et certains….m’observaient d’une curiosité malsaine. Neck était recroquevillé sur lui-même, vraisemblablement désireux de se faire discret. Un éclair frappa, je ne réagis pas, toujours impassible ; j’avais sentis l’impact de la foudre avant que qui que ce soit l’entende. La foudre. L’éclair. Il y avait là un début de réflexion naissante, d’idée de génie, sans que je n’en susse l’importance.

L’éclair. Le corps fonctionne par l’électricité, ce ne sont que des signaux émis par le cerveau. Il suffirait seulement de détourner ces signaux, avant qu’ils ne se perdent et de les absorber pour se les approprier…Il serait ainsi possible de savoir ce que pense la personne. Mais cette technique je ne pouvais l’envisager qu’à faible portée et au-delà de sa complexité, elle pouvait s’avérer dangereuse ; elle n’avait à ma connaissance jamais été expérimentée, et pour cause, je venais de l’inventer. Mais je ne pouvais abandonner maintenant à la première difficulté et je me devais d’essayer, j’avais après tout réussi à maîtriser une technique tout aussi complexe ; l’illusion magmatique.

Un groupe d’homme se situait à ma droite, non loin de moi. Je me concentrais et impulsa le sol de mes vibrations pour déceler plus exactement les structures métalliques du bâtiment. Une chance pour moi, chaque plaque d’ornement métallique disposée au sol étaient jointes les unes aux autres. Bien sûr je pouvais choisir de ne pas utiliser le métal. Le fait était seulement que la Terre m’aurait coûté beaucoup plus de Chi ; les signaux corporels recherchés étant d’origine électrique. De plus, le métal me permettait de dériver ce signal beaucoup plus vite et plus aisément.

Je me lançais alors. J’isolais la parcelle de terrain nécessaire de ma pensée ; du pétale de métal sur lequel l’homme hirsute était assis jusqu’à la branche métallique sur laquelle je pratiquais. Cela m’avait demandé déjà une concentration soutenue car je devais visualiser mentalement et constamment le chemin que les signaux prendrait ; celui que j’allais leurs faire prendre tout au moins. J’isolais ensuite les différentes vibrations pour me concentrer uniquement sur l’individu test. Après un petit moment d’adaptation, j’utilisais les os de l’individu pour conduire les signaux jusqu’au métal. Aussitôt fait, j’absorbait les signaux douloureusement, les faisant remonter jusqu’à ma boite crânienne.

La douleur était intense et probablement due à mon manque d’expérience. Je ressentais de violents coups internes, tels des kunaïs jetés à tout rompre dans mon crâne. Mon sang enflammé titubait en reflux. Je restais néanmoins presque immobile, seules de légères contractions musculaires pouvaient me trahir. La pression se relâcha d’elle-même.


*Oui je me demande vraiment à quoi ressemble ce nouvel agent de notre Nation.*

Bien que j’eus conscience de la marge d’amélioration à prêter à cette technique, je fus pris d’un contentement certain ; j’avais réussi. La pensée s’était révélée en moi par ma voix et je savais désormais qu’un nouvel agent de la Nation avait été engagé, et que personne n’en connaissait l’identité. La récolte était cependant maigre comparé à la souffrance endurée et l’énergie offerte. Il me faudrait bientôt renouveler l’expérience, mais plus stratégiquement et prudemment.


*Flambeau Bleu…boisson…avais vu…un…du feu…preuve d’intégrité*

Le second message n’était pas prévu, sa forme était étrange mais peut-être allais-je pouvoir en retirer quelque chose plus tard. Le tavernier sembla me regarder plus lestement je me dirigeais alors vers lui d’un pas assuré bien que j’eus encore l’impression de trembler. J’appuyais les coudes sur le comptoir, le tavernier sembla surpris. Je me rendis bien tôt compte que l’objet de sa surprise était Neck.


« Qu’est-ce que c’est que ça ? Dit-il suspicieusement. Ce ne serait pas un de ces animaux du Royaume de la Terre ?!
- Si, répondis-je.
- Qu’est-ce que tu fais avec ce truc ? Tu viens de là-bas ?
- Oui, dis-je impassiblement, on m’a récemment engagé pour une mission secrète et j’en reviens. Cet animal va nous permettre d’affaiblir les défenses de la terre. Alors montre toi plus respectueux.
- Ah ? Vous…Vous êtes…
- Le Nouvel Agent engagé par la Nation.
- Et qu’est-ce qui nous dit que tu ne mens pas ? S’enquît vulgairement un vieil homme. »

Illusion Magmatique. L’imitation fut parfaite et fut le plus grand effet. Je refroidis l’ardeur, refermant ma main sur ma sphère.


« Très bien, Je crois que…c’est clair »

Le tavernier me servit un Flambeau Bleu que je bu d’une seule traite avant de me faire aborder par un nouvel individu.
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